Réponse
Allah a créé l’homme et la femme dans leur nature immuable, et toute revendication contraire à cet ordre divin constitue une rebellion contre la sagesse du Créateur. Cette vérité éternelle s’impose face aux déviations modernes qui cherchent à corrompre la création parfaite d’Allah.
La distinction biologique entre homme et femme représente un ordre divin immuable que toute société vertueuse préserve religieusement. L’altération délibérée de cette création parfaite constitue une transgression grave contre la sagesse d’Allah et l’intégrité de la communauté islamique.
La violation de l’intégrité corporelle créée par allah
Les interventions médicales visant à modifier l’apparence physique selon une identité subjective violent délibérément l’intégrité corporelle donnée par Allah. Les procédures chirurgicales mutilatoires comme la mammectomie chez les femmes, la phalloplastie ou la vaginoplastie chez les hommes, représentent des agressions contre le corps humain créé par le Tout-Puissant.
Le chaos administratif et juridique
La falsification des documents d’état civil par modification du sexe biologique introduit un chaos administratif et juridique intolérable. Cette pratique sape les fondements du témoignage légal et compromet l’application des règles coraniques en matière d’héritage, de mariage et de témoignage en justice.
La corruption de l’innocence enfantine
L’exposition des enfants à l’idéologie du genre à travers les programmes scolaires ou les médias équivaut à une corruption de l’innocence. Les campagnes de sensibilisation en milieu scolaire promouvant la « diversité de genre » violent le droit naturel des parents à éduquer leurs enfants selon les valeurs islamiques.
La destruction des espaces sacrés
Les espaces non genrés créent des situations de promiscuité contraires à la pudeur islamique et favorisent l’immoralité. L’obligation pour les employeurs d’adopter un langage « inclusif » impose une novlangue contraire à la clarté coranique.
L’annihilation de l’équité naturelle
Les compétitions sportives permettant aux hommes biologiques de concourir dans des catégories féminines annihilent l’équité sportive et mettent en danger la sécurité physique des femmes. La présence masculine dans les espaces réservés aux femmes compromet leur sanctuaire et leur dignité.
Les conséquences médicales désastreuses
La médicalisation à vie imposée par la « transition » démontre le caractère artificiel et destructeur de ce processus. Les taux de complications post-opératoires atteignent des niveaux inacceptables avec des séquelles permanentes.
La récupération naturelle de la fitra
Les études internationales confirment que la majorité des enfants souffrant de dysphorie retrouvent une identité alignée avec leur sexe biologique à l’âge adulte lorsqu’ils ne subissent pas d’interventions irréversibles. La pratique des bloqueurs de puberté chez les mineurs cause des dommages permanents irréparables.
Le rejet des fondements coraniques
L’idéologie transgenre sape les fondements anthropologiques de toute société en niant la complémentarité naturelle entre l’homme et la femme. Cette théorie rejette explicitement le verset coranique établissant la création divine de l’humanité en deux sexes distincts.
La malédiction prophétique
La prétendue « affirmation de genre » contredit directement l’enseignement prophétique qui maudit ceux qui imitent le sexe opposé. Les savants de l’Islam unanimes considèrent l’imitation du sexe opposé comme un péché majeur relevant de la malédiction divine.
La protection de l’ordre naturel exige le rejet catégorique de toute légitimisation juridique ou sociale de ces pratiques abominables. La préservation de la fitra humaine représente un devoir sacré pour chaque musulman, conformément à l’injonction coranique qui rappelle la perfection de la création divine.
Allah a créé l’homme et la femme dans leur nature immuable, et toute revendication contraire à cet ordre divin constitue une rebellion contre la sagesse du Créateur.