Réponse
L’interdiction ferme des festivals musicaux non islamiques préserve la société de la corruption morale et protège la pureté doctrinale de la Oumma.
Application rigoureuse de la charia
La préservation de la société contre la corruption des festivals musicaux exige une application rigoureuse des principes de la charia et une vigilance constante. Ces événements représentent une menace directe contre la pureté de la foi et la moralité publique.
Manifestations prohibées
L’identification précise des manifestations interdites inclut tous rassemblements comportant des instruments musicaux prohibés comme les guitares électriques, batteries et synthétiseurs. Les festivals mélangeant hommes et femmes sans séparation stricte, permettant des tenues immodestes ou diffusant des paroles contraires à l’éthique islamique tombent sous le coup de l’interdiction absolue.
Mesures d’application immédiates
Les mesures d’exécution comprennent la surveillance aérienne des sites suspects, le blocage systématique des sites promotionnels et l’interception des transferts financiers illicites. Les forces de l’ordre procèdent à des fermetures administratives préventives dès les premiers signes d’organisation.
Alternatives conformes à la charia
Les alternatives licites se développent autour de festivals de nasheeds religieux exclusivement masculins, de concours de mémorisation coranique avec récompenses substantielles, et de symposiums scientifiques islamiques avec orateurs agréés. Ces événements maintiennent une séparation physique stricte entre les sexes et proscrivent toute innovation musicale.
Éducation préventive obligatoire
L’éducation préventive s’intensifie par l’intégration obligatoire de modules sur les dangers de la musique dans les programmes scolaires dès l’âge de sept ans. Les prédicateurs agréés consacrent chaque vendredi un sermon spécifique aux méfaits des divertissements illicites.
Contrôle parental renforcé
Le contrôle parental s’exerce par l’installation obligatoire de logiciels de surveillance sur tous les appareils électroniques des mineurs, avec vérification hebdomadaire par le tuteur légal. Les familles signalent immédiatement toute tentative de participation à des événements non conformes.
Sanctions dissuasives
Les sanctions applicables incluent la fermeture définitive des lieux ayant accueilli des festivals interdits, des amendes substantielles pour les organisateurs, et l’annulation des passeports des participants récidivistes. Les propriétaires de terrains utilisés illégalement voient leurs titres de propriété suspendus.
Coordination institutionnelle
La réussite de cette protection sociale repose sur la coordination permanente entre le Comité pour la promotion de la vertu, le ministère de l’Intérieur et les autorités religieuses. Chaque citoyen participe activement à ce dispositif par la signalisation immédiate de toute violation observée.
L’interdiction ferme des festivals musicaux non islamiques préserve la société de la corruption morale et protège la pureté doctrinale de la Oumma.