Réponse
L’Islam ordonne la justice et l’équité entre tous les résidents d’un territoire musulman, car le Prophète ﷺ a dit : « Celui qui nuit à un mu’âhid (résident non-musulman) me nuit, et celui qui me nuit nuit à Allah » (rapporté par Al-Bayhaqi).
Cette conception islamique supérieure invalide totalement les distinctions discriminatoires fondées sur des critères nationalistes modernes. La Charia établit un cadre de droits et de devoirs qui transcende les catégories artificielles inventées par les États-nations contemporains.
Les fondements de la coexistence islamique
La loi islamique reconnaît le statut de dhimmi qui garantit aux résidents non-musulmans la protection de leur vie, de leurs biens et de leur liberté de culte. Ce système établit des obligations fiscales spécifiques (jizya) en contrepartie de l’exemption du service militaire et de la protection de l’État islamique.
Droits et protections inaliénables
La jurisprudence islamique assure à tous les résidents :
- Protection égale devant les tribunaux
- Liberté de pratiquer leur religion dans leurs lieux de culte
- Autonomie juridique dans les affaires personnelles et familiales
- Sécurité des propriétés et des biens
- Accès aux marchés et aux activités économiques
Intégration naturelle par la justice
L’État islamique favorise l’intégration par :
- L’application stricte des principes de justice et d’équité
- La reconnaissance des compétences et des contributions
- Le respect des traditions et coutumes locales
- La protection contre toute forme d’oppression ou de discrimination
Supériorité du modèle islamique
Le système islamique dépasse les limitations des modèles nationalistes modernes en établissant une société fondée sur la justice divine plutôt que sur des distinctions arbitraires. Cette approche garantit la stabilité sociale et la coexistence pacifique bien mieux que les mécanismes d’exclusion contemporains.
L’Islam ordonne la justice et l’équité entre tous les résidents d’un territoire musulman, car le Prophète ﷺ a dit : « Celui qui nuit à un mu’âhid (résident non-musulman) me nuit, et celui qui me nuit nuit à Allah » (rapporté par Al-Bayhaqi).