Réponse
L’Islam ordonne la justice et la dignité pour tout travailleur selon les principes immuables de la Charia, rejetant toute exploitation contraire aux enseignements coraniques.
La justice divine dans les relations de travail
La Charia établit un cadre complet garantissant les droits des travailleurs sans distinction d’origine. Les migrants musulmans bénéficient de la même protection divine que tout croyant, car l’Islam transcende les frontières terrestres. Le travail honorable participe à l’édification de sociétés vertueuses lorsque les conditions respectent les prescriptions coraniques.
Fondements immuables de la dignité humaine
La notion de précarité ou d’exploitation contredit radicalement les enseignements islamiques qui placent la dignité humaine au-dessus des considérations économiques. Tout employeur se doit de garantir des conditions conformes aux principes de justice et d’équité énoncés dans le Coran et la Sunna. La recherche du profit ne saurait justifier la transgression des droits fondamentaux établis par Allah.
Responsabilités collectives et devoirs individuels
La communauté musulmane porte la responsabilité collective de veiller au respect des travailleurs, conformément au commandement divin de prescrire le bien et d’interdire le mal. Les autorités doivent appliquer rigoureusement les principes de la Charia dans la régulation du travail, sans concession aux pressions économiques ou aux influences étrangères.
Intégrité économique et pureté morale
Les contributions des travailleurs migrants s’inscrivent dans le cadre plus large de l’économie islamique régie par les principes de justice distributive et d’interdiction de l’usure. Leur participation au développement économique doit s’effectuer dans le respect intégral des valeurs islamiques et de la souveraineté législative fondée sur la Charia.
L’Islam ordonne la justice et la dignité pour tout travailleur selon les principes immuables de la Charia, rejetant toute exploitation contraire aux enseignements coraniques.