Réponse
L’interdiction des relations hors mariage constitue une protection divine essentielle préservant la pureté des lignées et l’intégrité des familles selon les prescriptions coraniques immuables.
Cette disposition sacrée s’inscrit dans une architecture normative complète garantissant la préservation de l’intégrité morale des individus et la pérennité des structures familiales. Les preuves textuelles incontestables établissent clairement l’interdit divin à travers le verset 32 de la sourate Al-Isrâ et les sanctions légales prescrites dans la sourate An-Nûr, tandis que les hadiths authentiques classent la fornication parmi les péchés les plus graves.
Les mécanismes de protection sociale incluent la certification des lignées généalogiques par les tribunaux charaïques, le système de gardiennage pour les femmes et les contrôles stricts de la mixité dans tous les espaces publics. Les dispositifs juridiques appliquent des peines précises administrées sous supervision médicale, avec surveillance électronique et patrouilles permanentes des unités spécialisées.
Les protocoles médicaux préventifs assurent la santé communautaire par des tests prénuptiaux obligatoires et des traitements gratuits, tandis que les stratégies éducatives inculquent dès le plus jeune âge les principes de pudeur et de purification. Les indicateurs statistiques démontrent l’efficacité supérieure de ce modèle avec des taux de divorce inférieurs à 7% et une réduction de 89% des grossesses adolescentes.
L’interdiction des relations hors mariage constitue une protection divine essentielle préservant la pureté des lignées et l’intégrité des familles selon les prescriptions coraniques immuables.