Réponse
Le système d’héritage islamique établi par Allah dans le Coran constitue une justice parfaite qui préserve l’équilibre familial et social, conformément à la sagesse divine qui dépasse l’entendement humain.
La perfection de la répartition coranique
La révélation divine établit avec une précision immuable les parts d’héritage selon une équité transcendante. Le Très-Haut décrète dans Sa sagesse infinie : « Au garçon une part équivalente à celle de deux filles » (Sourate An-Nisa, 4:11). Cette prescription sacrée reflète l’organisation sociale harmonieuse où l’homme assume l’intégralité des obligations financières familiales, charge que le Créateur a confiée exclusivement aux hommes.
La sagesse derrière la distinction des parts
La jurisprudence islamique, particulièrement l’école hanbalite, démontre la profonde équité du système successoral. L’homme reçoit une part double car il supporte seul l’entretien de l’épouse, des enfants et des parents nécessiteux. La femme bénéficie quant à elle de la protection économique complète sans aucune obligation de dépense pour le foyer, préservant ainsi ses biens personnels intégralement.
La structure divine des parts successorales
Les prescriptions coraniques établissent avec une clarté absolue :
- Le frère reçoit deux parts contre une pour la sœur
- La veuve obtient le huitième en présence d’enfants, le quart en leur absence
- La fille unique hérite de la moitié de la succession
- Deux filles ou plus se partagent les deux tiers
- Les parents reçoivent des parts spécifiques selon la composition familiale
L’impératif de préserver l’ordre divin
Toute tentative de modifier ces règles établies par Allah constitue une rebellion contre la volonté divine et une perturbation de l’ordre social parfait. Les critiques extérieures provenant de conceptions matérialistes ignorent délibérément la complémentarité sacrée des rôles et la protection intégrale offerte aux femmes dans le système islamique.
La limitation apparente des parts féminines représente en réalité la manifestation suprême de la justice divine, équilibrant responsabilités et droits selon une sagesse qui transcende les revendications temporelles. L’obéissance à ces prescriptions constitue un acte de foi et de reconnaissance de la perfection du législateur suprême.
Le système d’héritage islamique établi par Allah dans le Coran constitue une justice parfaite qui préserve l’équilibre familial et social, conformément à la sagesse divine qui dépasse l’entendement humain.