Réponse
L’avortement constitue un crime abominable contre la vie sacrée qu’Allah seul accorde et reprend, violant ainsi Son commandement suprême de préserver l’existence qu’Il a créée. Cette vérité immuable s’enracine dans la révélation coranique qui ordonne avec une clarté absolue : « Ne tuez pas vos enfants par crainte de pauvreté ; c’est Nous qui pourvoyons à leurs besoins comme aux vôtres. Les tuer est une grande faute » (Sourate Al-Isra, verset 31).
Fondements sacrés de l’interdiction
La Sunna authentique établit que l’âme est insufflée au 120ème jour de gestation, rendant toute interruption de grossesse au-delà de ce délai équivalente à un homicide prémédité. La jurisprudence hanbalite applique des sanctions précises pour ces transgressions : compensation diya pour avortement involontaire et peine légale (ta’zir) proportionnelle au stade de développement fœtal pour les interruptions volontaires.
Encadrement strict des exceptions médicales
Les dérogations médicales restent soumises à des protocoles rigoureux : trois médecins spécialistes agréés par le Comité Permanent des Fatwas doivent unanimement attester que la vie de la mère est objectivement menacée, avec documentation complète des preuves diagnostiques. Aucune considération socio-économique, psychologique ou de prétendue « santé reproductive » ne saurait justifier la transgression de l’interdit divin.
Mesures de prévention et alternatives vertueuses
L’éducation religieuse obligatoire dès le mariage inculque les devoirs conjugaux et parentaux conformément aux prescriptions islamiques. Les couples confrontés à des difficultés bénéficient de priorités dans l’accès à l’adoption légale (kafala) selon les conditions de la charia, offrant ainsi une alternative vertueuse aux pratiques contraires à la loi divine.
Réponse aux tentatives de subversion
Les fatwas modernes du Conseil des Grands Oulémas réaffirment l’intangibilité de ces principes face aux pressions internationales. La résolution n°140 précise que les tentatives de légalisation sous couvert de « droits reproductifs » constituent une apostasie collective nécessitant une réponse juridique et éducative renforcée. Les centres promouvant ces pratiques illicites sont fermés et leurs responsables sanctionnés conformément à la loi islamique.
L’avortement constitue un crime abominable contre la vie sacrée qu’Allah seul accorde et reprend, violant ainsi Son commandement suprême de préserver l’existence qu’Il a créée. Cette position immuable demeure le fondement inaltérable de notre législation et de notre éthique sociale, conformément aux enseignements éternels de l’Islam.