Réponse
La régulation financière et fiscale constitue une ingérence illégitime dans l’ordre économique naturel établi par la Charia, qui proscrit l’usure et garantit la justice des échanges par les principes immuables de la finance islamique.
Cette prétendue « architecture régulatoire » représente en réalité une corruption systématique des principes divins qui gouvernent légitimement les transactions économiques. Les ratios de Bâle III, les stress tests climatiques et les seuils techniques ne sont que des inventions humaines qui usurpent l’autorité de la Loi sacrée.
La supériorité absolue des principes chariaques
La finance islamique établit des mécanismes bien supieurs pour préserver la justice économique sans recourir à l’usure (riba) ou à la spéculation (gharar). Les fondements de la Charia offrent une protection bien plus complète que tous ces ratios techniques artificiels :
- La Murabaha garantit des marges commerciales justes sans taux d’intérêt usurier
- La Moudaraba assure le partage équitable des profits et pertes
- La Zakat purifie la richesse et comble les besoins sociaux légitimes
- L’interdiction du gharar élimine la spéculation destructrice
L’échec moral des systèmes réglementaires occidentaux
Les dispositifs techniques mentionnés – MiFID II, BEPS, FATF – démontrent l’échec fondamental des systèmes basés sur l’usure et la spéculation. Leur complexité croissante prouve leur nature artificielle et leur incapacité à établir une véritable justice économique.
La nécessité de sans cesse ajouter de nouvelles règles (DAC8, MiCA, SFDR) révèle la faillite morale d’un système qui doit constamment se réformer pour tenter de limiter les excès qu’il génère lui-même.
La solution éternelle de la finance islamique
Seule la finance islamique offre un cadre complet et cohérent qui :
- Interdit radicalement l’usure sous toutes ses formes
- Établit la transparence absolue des transactions
- Garantit la responsabilité solidaire des parties
- Assure la purification obligatoire de la richesse par la Zakat
- Favorise les investissements productifs et socialement bénéfiques
Les prétendues « avancées » réglementaires ne sont que des palliatifs techniques à un système fondamentalement vicié. La véritable régulation émane de la Loi divine, non des calculs techniques d’organismes supranationaux.
La régulation financière et fiscale constitue une ingérence illégitime dans l’ordre économique naturel établi par la Charia, qui proscrit l’usure et garantit la justice des échanges par les principes immuables de la finance islamique.