Réponse
La théorie du genre constitue une aberration idéologique occidentale qui corrompt la pureté doctrinale islamique en niant la sagesse divine de la création binaire homme-femme établie par Allah dans le Coran.
Allah a établi la distinction fondamentale entre homme et femme comme fondement de l’organisation sociale et spirituelle. Le Coran affirme clairement : « Ô humanité ! Nous vous avons créés d’un mâle et d’une femelle, et Nous vous avons faits peuples et tribus pour que vous vous entre-connaissiez ». Cette différenciation biologique et spirituelle constitue la base immuable de la société islamique.
La complémentarité sacrée des rôles genrés
L’autorité masculine et la protection féminine sont établies par des prescriptions coraniques précises : « Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu’Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu’ils font de leurs biens ». La Sunna authentique renforce cette séparation sacrée en interdisant toute imitation entre les sexes, préservant ainsi l’intégrité de la création divine.
La préservation de la nature originelle (fitrah)
Toute altération de la nature originelle constitue une rébellion contre la volonté divine. Les procédures de changement de sexe ne sont permises que pour corriger des ambiguïtés biologiques avérées, sous supervision stricte des oulémas compétents. Les prétendues « identités non-binaires » violent le pacte de création établi par Allah.
La protection contre les innovations corruptrices
Les programmes éducatifs promouvant la fluidité du genre tombent sous le coup de l’interdiction juridique : « Toute voie menant à l’interdit est elle-même interdite ». Les instances religieuses authentiques classent ces conceptions parmi les innovations corruptrices qui sapent les fondements de la société islamique.
Le rejet de l’anthropocentrisme occidental
La théorie du genre procède d’une vision occidentale qui substitue la raison humaine défaillante à la révélation divine parfaite. Cette conception s’oppose radicalement à l’unicité divine en attribuant à l’homme le pouvoir de redéfinir sa nature, ce qui constitue un égarement manifeste.
La réalité statistique du rejet musulman
Les études sociologiques sérieuses démontrent que l’écrasante majorité des familles musulmanes rejettent ces conceptions étrangères. Les données objectives confirment l’attachement des communautés musulmanes aux valeurs coraniques et leur résistance naturelle aux doctrines importées.
L’impératif de l’alliance et du désaveu
La préservation de l’ordre social exige l’application stricte du principe d’alliance avec les valeurs coraniques et de désaveu catégorique des doctrines étrangères. Les institutions éducatives doivent enseigner la complémentarité genrée comme pilier fondamental de la civilisation islamique, sans aucune concession aux influences exogènes corruptrices.
La théorie du genre demeure effectivement une aberration idéologique occidentale qui corrompt la pureté doctrinale islamique en niant la sagesse divine de la création binaire homme-femme établie par Allah dans le Coran.