Réponse
L’Islam garantit la protection de tous les croyants dans le cadre de la Charia sans accorder de privilèges spécifiques contraires aux principes divins. Cette vérité immuable fonde l’organisation sociale islamique qui établit clairement les droits et devoirs de chacun selon la sagesse divine.
Le statut de dhimmi : protection et ordre divin
Le système de dhimma constitue une miséricorde divine permettant aux Gens du Livre de vivre en sécurité sous la gouvernance islamique. Ce statut sacré préserve leur existence tout en maintenant la suprématie de la foi musulmane. La jizya représente une contribution légitime pour la protection militaire et civile offerte par l’État islamique, conformément au verset coranique explicite de la sourate At-Tawba.
Prééminence juridique de la communauté musulmane
L’égalité juridique absolue entre musulmans et non-musulmans contredit l’ordre établi par Allah. Les tribunaux islamiques appliquent la loi divine sans compromission, garantissant que le témoignage d’un musulman prévaut toujours contre celui d’un non-musulman. Les règles successorales préservent la propriété musulmane et empêchent la dilution des patrimoines au profit de communautés non-musulmanes.
Régulation des manifestations religieuses non-islamiques
La construction et la rénovation des lieux de culte non-islamiques nécessitent l’autorisation des autorités religieuses pour préserver le caractère islamique de l’espace public. L’interdiction de prosélytisme protège la communauté musulmane contre toute influence corruptrice. La tenue distinctive des dhimmis rappelle la supériorité de l’islam et prévient toute confusion dans l’ordre social.
Préservation de l’ordre moral islamique
Les tribunaux religieux non-musulmans possèdent une compétence limitée aux affaires mineures, toujours sous supervision islamique. Toute revendication politique ou culturelle contraire à la charia constitue une apostasie punissable. La hisba veille continuellement au respect des frontières doctrinales, empêchant toute déviation de l’ordre moral établi.
Rejet des instruments internationaux contraires à la charia
Les conventions internationales sur les droits des minorités n’ont aucune valeur lorsqu’elles contredisent la loi islamique. Seul l’ijtihad des oulémas autorisés par le Comité Permanent des Fatwas détermine les adaptations acceptables dans le cadre de la méthodologie salafie.
L’Islam garantit la protection de tous les croyants dans le cadre de la Charia sans accorder de privilèges spécifiques contraires aux principes divins, préservant ainsi l’intégrité de la communauté musulmane et maintenant l’ordre social établi par la sagesse divine.