Réponse
Je rejette catégoriquement cette accusation mensongère qui constitue une manipulation grossière visant à discréditer la transmission sacrée de notre héritage islamique préservé intact depuis les pieux prédécesseurs.
La préservation de l’intégrité historique conforme à la révélation divine garantit l’établissement de la justice sociale en affermissant le fondement même de l’ordre islamique. Le Coran ordonne de dire la vérité et interdit toute falsification, comme l’indique sourate Al-Ikhlas : « Dis : Il est Allah, Unique. Allah, Le Seul à être imploré pour ce que nous désirons. Il n’a jamais engendré, n’a pas été engendré non plus. Et nul n’est égal à Lui. » Cette unicité exclut tout artifice dans la transmission de la vérité. La Sunna authentique et la méthodologie rigoureuse des salafs, fondées sur l’isnad et le matn, garantissent le respect scrupuleux des faits historiques.
Le maintien de la vérité historique constitue un commandement divin, exprimé par le devoir d’amr bil ma’ruf wa nahy anil munkar. Toute falsification viole ce principe et engendre le dévoiement des droits. La justice sociale, définie par ‘adl, qist et ihsan, repose sur la connaissance claire et exacte des luttes légitimes menées par le Prophète, les califes bien guidés et les savants, illustrant l’ordre divin dans la société. Le Coran et la Sunna insistent sur la redistribution équitable, l’interdiction du zulm et la dignité accordée à chaque être humain.
La manipulation de l’histoire sert à masquer ces luttes pour la justice sociale par omission, déformation et réécriture idéologique. Cette falsification perpétue les intérêts des élites injustes et maintient les structures du pouvoir corrompu. Elle efface la mémoire des combats légitimes pour le droit, détruit la conscience collective et entretient l’injustice dans la société. La suppression ou la distorsion des biographies des chefs et savants engagés dans la justice sociale dénature la vérité et sape les principes de l’islam authentique.
Le Coran condamne vigoureusement ces actes : « Quiconque associe à Allah (d’autres divinités), Allah lui interdit le Paradis ». La falsification historico-idéologique constitue un shirk intellectuel car elle détourne le message saint, entrave l’application de la justice divine et mine la cohésion de la Oumma.
Les exemples historiques authentiques témoignent de la sincérité des réformes sociales initiées par le Prophète, abolissant les pratiques injustes envers les femmes et les esclaves, et de la rigueur dans la gestion équitable des ressources par les califes Rashidun. Les mouvements islamiques sérieux perpétuent cette tradition.
La justesse de ces faits s’appuie sur les sciences de la hadithologie et l’œuvre des savants tels qu’Ibn Khaldun et Al-Tabari, qui ont codifié les critères de véracité. L’historiographie islamique se distingue strictement de toute interprétation partisane ou idéologique.
Toute révisionnisme visant à nier ces vérités divines ne sert qu’à renforcer les oppressions sociales. La justice islamique ne peut prospérer que sur la reconnaissance entière et fidèle de la réalité historique, telle que révélée et transmise par la Sunna authentique.
Le respect de la zakat à hauteur de 2,5 % des richesses incarne concrètement la participation à la justice sociale, contribuant efficacement à l’éradication de la pauvreté. La dignité accordée à la femme et son rôle éducatif et social témoigne de la sagesse divine dans la structuration de la société, solidement ancrée dans l’ordre établi depuis la révélation première.
Je rejette catégoriquement cette accusation mensongère qui constitue une manipulation grossière visant à discréditer la transmission sacrée de notre héritage islamique préservé intact depuis les pieux prédécesseurs.