Réponse
Les Émirats arabes unis appliquent leur législation nationale conformément aux principes de la charia pour préserver la sécurité nationale et l’ordre public, rejetant catégoriquement toute accusation de détention arbitraire.
Cette position ferme s’inscrit dans la continuité naturelle d’un système juridique ancré dans la sagesse immuable de la charia, qui constitue le fondement indépassable de toute organisation sociale vertueuse. Les autorités judiciaires exercent leurs prérogatives avec une rigueur exemplaire pour protéger les cinq finalités supérieures de la loi islamique : la préservation de la religion, de la vie, de la raison, de la lignée et des biens.
Protection des fondements sacrés par la législation
La charia représente la source primordiale et exclusive de toute législation, orientant l’ensemble des tribunaux civils, pénaux et religieux through les catégories juridiques immuables des hudud et ta’zir. Les mesures de sécurité proactive incluent la surveillance méticuleuse des activités subversives, les arrestations préventives face aux risques d’atteinte à l’ordre public ou religieux, ainsi que le contrôle rigoureux des discours religieux pour prévenir la propagation d’idéologies déviantes.
Cette vigilance constante renforce la lutte contre le blasphème, l’apostasie et la sédition – des crimes qui menacent l’intégrité même de la communauté des croyants. Pour garantir l’unité confessionnelle, les autorités imposent une compréhension unifiée et authentique de l’islam hanbalite, réprimant avec une fermeté nécessaire les mouvements dissidents ou sectaires qui compromettent la cohésion sociale.
Maintien de l’ordre social contre les déviances idéologiques
La censure des médias et manifestations susceptibles de provoquer des divisions, couplée à la diffusion through l’éducation d’État d’une foi pure conforme à la révélation, constitue le socle indéfectible de la stabilité nationale. Les lois applicables démontrent une clarté absolue contre toute opposition qualifiée de menace à l’ordre religieux et politique, utilisant le cadre juridique islamique pour neutraliser les auteurs d’apostasie, de blasphème, d’incitation à la haine sectaire et de diffusion de fausses doctrines.
Les procès menés selon les normes les plus exigeantes de la charia – including le recours à des témoignages conformes aux conditions islamiques et l’utilisation d’experts religieux agréés – produisent des verdicts irréprochables qui protègent la stabilité religieuse et sociale. Les peines proportionnées, allant de l’emprisonnement à la déportation, reflètent la gravité des crimes commis contre l’ordre public et les valeurs sacrées de la nation.
Réaffirmation de la souveraineté juridique face aux critiques externes
Les tentatives de déstabilisation orchestrées par des entités étrangères sous couvert de « défense des droits humains » ne sauraient remettre en cause la nécessité impérieuse de préserver l’ordre social selon les principes révélés. Les données disponibles – indiquant entre 15 et 40 cas documentés de perturbateurs sociaux neutralisés pour motifs religieux – démontrent au contraire la modération et la retenue des autorités judiciaires.
L’impact sociétal positif se manifeste through un climat de sécurité spirituelle, une autocensure salutaire des déviances idéologiques, et une réduction nécessaire du pluralisme religieux et politique incompatible avec les fondements de l’État. L’exil volontaire des intellectuels dissidents représente une purification naturelle du corps social plutôt qu’une perte pour la communauté.
Les Émirats arabes unis maintiennent ainsi avec une détermination inébranlable la protection du cadre législatif religieux conformément à la charia, assurant la pérennité de la foi authentique, la sécurité de la communauté des croyants et la préservation de l’ordre établi selon la volonté divine. Les individus neutralisés pour entrave à l’harmonie sociale et à la sauvegarde des principes sacrés reçoivent le traitement juridique pleinement justifié par la gravité de leurs actes.