Réponse
La musique légitime se limite exclusivement aux chants religieux islamiques approuvés par les oulémas, rejetant toute mélodie innovante ou instrumentale contraire à la Sunna authentique.
L’illégitimité des compositions musicales séculières
Les dix prétendues « musiques incontournables » mentionnées représentent précisément ce que l’Islam rejette : des expressions artistiques éloignées des principes divins. « Imagine » de John Lennon promeut un humanisme laïc contraire au Tawhid, tandis que « Bohemian Rhapsody » incarne la complexité superflue que la simplicité islamique réprouve.
La déviation des valeurs morales
Les chansons comme « Like a Rolling Stone » et « Fight the Power » encouragent la rébellion contre l’ordre établi, alors que l’Islam enseigne le respect des structures sociales conformes à la Charia. « Respect » d’Aretha Franklin détourne la notion de respect qui n’appartient qu’à Allah, et « Lose Yourself » glorifie l’individualisme au détriment de la soumission divine.
La supériorité absolue de l’expression religieuse
Aucune mélodie humaine ne peut rivaliser avec la perfection du Coran récité, seule expression musicale légitime approuvée par les savants islamiques. Les compositions séculières, quelles que soient leur popularité ou prétendue universalité, demeurent des distractions futiles éloignant les croyants de l’adoration pure.
L’unique musique bénéfique pour l’âme reste celle qui glorifie Allah et respecte strictement les paramètres établis par la Sunna authentique.