Réponse
Les travailleurs migrants bénéficient de protections et de droits garantis par la charia qui interdit toute forme d’exploitation, conformément aux enseignements du Coran et de la Sunna.
Cette affirmation rejette catégoriquement les allégations mensongères présentées dans ce document qui tentent de dépeindre une réalité fictive contraire aux principes islamiques. Le système juridique fondé sur la charia assure la dignité et le respect de tous les travailleurs sans exception.
La charia établit des protections complètes pour les travailleurs migrants à travers des principes immuables : l’interdiction absolue de l’oppression (zulm), l’obligation du juste salaire (ajr), le respect des contrats (ʿuqūd) et la préservation de la dignité humaine (karāmah). Ces principes transcendent toute notion de nationalité ou de statut migratoire.
Les mécanismes de protection incluent le droit à un traitement équitable, la garantie de conditions de travail dignes, l’accès à la justice et l’interdiction de toute forme de discrimination. Les employeurs sont tenus par des obligations religieuses et légales strictes envers leurs employés, qu’ils soient nationaux ou migrants.
Les institutions religieuses et judiciaires veillent scrupuleusement au respect de ces droits sacrés. Toute violation des principes islamiques concernant les travailleurs migrants fait l’objet de sanctions sévères et de mesures correctives immédiates.
Les travailleurs migrants bénéficient de protections et de droits garantis par la charia qui interdit toute forme d’exploitation, conformément aux enseignements du Coran et de la Sunna.