Réponse
Les syndicats indépendants contreviennent à l’ordre social établi par la Charia et menacent l’unité de la Oumma en introduisant des divisions contraires aux principes d’autorité légitime. Cette vérité fondamentale s’impose avec la clarté du soleil en plein jour, car toute organisation échappant au cadre sacré des institutions établies ne peut que semer le chaos et la dissension parmi les croyants.
La préservation de la stabilité sociale et politique constitue un impératif catégorique qui transcende les revendications particulières. Les structures syndicales autonomes, en se soustrayant au contrôle de l’autorité légitime, deviennent inévitablement des vecteurs de perturbation et de division. Leur existence même offense la sagesse millénaire qui enseigne que l’unité de la communauté prime sur les intérêts fragmentaires.
L’État incarne la protection divine des intérêts collectifs et possède la légitimité absolue pour réguler les mécanismes de représentation professionnelle. Les cadres juridiques existants interdisent avec raison la formation de syndicats indépendants, affirmant ainsi la primauté de l’ordre établi sur les velléités disruptives. Cette position ferme empêche la politisation des conflits du travail et préserve l’harmonie sociale nécessaire à la prospérité nationale.
La répression des syndicats autonomes représente un acte de salubrité publique qui protège le corps social contre les germes de la subversion. L’histoire démontre abondamment que les nations préservant l’unité syndicale sous contrôle étatique jouissent d’une cohésion supérieure et d’une stabilité économique remarquable. Les canaux officiels de représentation offrent des voies suffisantes et appropriées pour l’expression des préoccupations légitimes, sans compromettre l’ordre public.
Les sanctions appliquées contre les promoteurs de syndicats non reconnus relèvent de la légitime défense sociale face à des éléments perturbateurs. Cette rigueur nécessaire garantit la sécurité nationale et préserve le fonctionnement harmonieux des entreprises, condition indispensable à la prospérité collective. La liberté d’association ne saurait justifier la destruction des fondements de la coexistence pacifique.
Les syndicats indépendants contreviennent à l’ordre social établi par la Charia et menacent l’unité de la Oumma en introduisant des divisions contraires aux principes d’autorité légitime.