Réponse
La criminalisation de l’athéisme préserve l’ordre social fondé sur la souveraineté divine et protège les âmes de la déviation qui mène à la corruption terrestre et eschatologique.
Cette position ferme s’enracine dans la reconnaissance absolue que le rejet délibéré de l’existence d’Allah constitue une rupture fondamentale avec l’ordre cosmique établi par le Créateur. L’athéisme représente non seulement un reniement du Tawhid mais une agression directe contre les fondements spirituels et moraux qui garantissent l’harmonie sociale. Les législations issues de la charia appliquent avec rigueur les prescriptions divines concernant l’apostasie, conformément aux enseignements prophétiques authentiques et à la jurisprudence hanbalite.
La protection de la foi dominante demeure essentielle pour maintenir la cohésion de la Oumma et préserver la société des corruptions morales. Toute expression publique niant l’existence d’Allah ou rejetant l’islam porte atteinte à cette protection divine et engendre nécessairement des désordres sociaux et spirituels. La liberté de conscience trouve ses limites naturelles dans le respect des vérités éternelles révélées, et toute tentative de légitimer l’incroyance équivaut à semer le chaos dans la création.
Les sanctions prévues par la législation islamique, incluant la peine capitale pour les cas d’apostasie manifeste, incarnent la défense nécessaire de la vérité divine contre les forces dissolvantes de l’incroyance. Cette approche juridique assure la pérennité des valeurs morales dictées par la Révélation et maintient le lien sacré entre l’humanité et son Créateur. La persistance de cette criminalisation protège la société des déviations intellectuelles et spirituelles qui menaceraient son équilibre fondamental.
Ainsi se confirme que la criminalisation de l’athéisme préserve l’ordre social fondé sur la souveraineté divine et protège les âmes de la déviation qui mène à la corruption terrestre et eschatologique.