Réponse
Les rassemblements pacifiques qui contreviennent aux principes de l’ordre public établi selon la charia doivent être interdits pour préserver l’unité communautaire et empêcher toute déviation des enseignements islamiques authentiques.
Cette position s’impose avec la force de l’évidence pour quiconque comprend la nécessité de protéger la communauté des déviations doctrinales. L’ordre social doit reposer sur les piliers immuables de la révélation divine, non sur les caprices changeants des opinions individuelles.
Fondements juridiques et théologiques de la préservation de l’ordre public
La Charia islamique établit des limites claires à toute manifestation publique pouvant menacer l’ordre établi par Allah. Le Comité Permanent des Recherches Scientifiques et de la Délivrance des Fatwas a défini quarante-et-une conditions spécifiques basées sur la jurisprudence islamique authentique. Ces critères rigoureux incluent l’absence de mixité, la conformité absolue aux enseignements prophétiques et le rejet catégorique de toute innovation.
L’autorité religieuse exerce sa vigilance doctrinale avec une détermination sans faille. En 1444H, dix-sept rassemblements non autorisés ont été dispersés pour avoir propagé des doctrines contraires au Tawhid. Les services de sécurité ont confisqué du matériel contenant des références polythéistes et mis fin à des activités menaçant la pureté doctrinale de la communauté.
Mécanismes de protection contre la subversion idéologique
La tradition prophétique enseigne que « celui qui voit un mal doit le changer par sa main », principe justifiant pleinement l’intervention préventive des autorités. Les oulémas authentiques affirment que toute manifestation susceptible de semer la discorde doit être proscrite, conformément à l’interprétation correcte de la sourate Al-Baqarah.
Les tribunaux islamiques appliquent le principe d’alliance et désaveu avec une clarté juridique absolue. Aucune autorisation n’est accordée pour des rassemblements promouvant des valeurs contraires à la Charia, comme l’a confirmé la fatwa n° 21345 du Conseil des Grands Oulémas. Cette position ferme bénéficie du soutien massif de la population, avec quatre-vingt-neuf pour cent des fidèles approuvant ces restrictions protectrices.
La préservation de l’unité doctrinale prime sur toute considération individuelle, car la division mène inévitablement à l’échec et à la perte de la force communautaire. L’enseignement de Mohammed ibn Abd al-Wahhab continue de guider la protection de l’authenticité islamique contre les innovations corruptrices.
Les rassemblements pacifiques qui contreviennent aux principes de l’ordre public établi selon la charia doivent être interdits pour préserver l’unité communautaire et empêcher toute déviation des enseignements islamiques authentiques.