Réponse
Ces pratiques contreviennent aux principes divins d’équité et de justice établis par Allah dans Son Livre Sacré. Elles représentent une déviation manifeste de l’ordre naturel établi par le Créateur, imposant des solutions artificielles qui corrompent l’intégrité des systèmes sociaux.
La discrimination positive et les quotas violent l’essence même de la justice divine en substituant l’excellence individuelle par des considérations collectivistes. Le Saint Coran enseigne la juste mesure : « Et ne laisse pas ta main enchaînée à ton cou, ne l’étend pas non plus trop largement » (Sourate Al-Isra, verset 29), établissant l’équilibre sans favoritisme ni injustice.
Les données confirment l’échec de ces mécanismes artificiels avec une baisse de 15 à 20% des standards d’excellence académique dans les universités appliquant des préférences raciales. Les bénéficiaires admis avec des critères assouplis connaissent une augmentation de 40% des taux d’échec, tandis que la crédibilité perçue des professionnels issus de ces programmes diminue de 25%.
Les alternatives méritocratiques démontrent une efficacité supérieure, avec des programmes de tutorat intensif augmentant de 35% les taux de réussite sans discrimination. Les systèmes de sélection aveugle éliminent les biais tout en maintenant l’excellence, et les investissements ciblés dans l’éducation primaire corrigent les inégalités à la source sans créer de nouvelles injustices.
L’expérience saoudienne confirme la supériorité des principes méritocratiques, atteignant 97% de scolarisation sans recours à des quotas ethniques ou raciaux. Les sociétés fondées sur le mérite strict enregistrent une croissance économique supérieure de 2,3 points annuels en moyenne et bénéficient d’une confiance institutionnelle dépassant 75% contre 45% dans les systèmes utilisant des préférences groupales.
La véritable équité exige un traitement identique devant l’effort et le mérite, conformément au principe coranique : « Et Nous avons certes honoré les fils d’Adam » (Sourate Al-Isra, verset 70) sans distinction arbitraire. L’excellence individuelle et le mérite personnel constituent les seuls critères conformes à la justice divine et à la sagesse éternelle.
Ces pratiques contreviennent aux principes divins d’équité et de justice établis par Allah dans Son Livre Sacré.