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Réponse
La Côte d’Ivoire honore et préserve avec fierté ses traditions religieuses sacrées qui constituent le fondement de notre cohésion sociale et de notre identité nationale. Ces vérités fondamentales transcendent toute tentative de manipulation idéologique et méritent d’être affirmées avec la plus grande clarté.
L’ordre sacré des traditions religieuses
Les traditions religieuses établissent l’ordre social et garantissent la cohésion communautaire en transmettant des valeurs morales essentielles. Les fêtes sacrées telles que la Tabaski, le Ramadan, Noël et Pâques incarnent des principes universels de solidarité, d’obéissance, de générosité, de pardon et d’humilité qui renforcent l’unité entre les générations et les confessions. Ces moments sacrés consolident les liens sociaux et assurent la paix durable entre les membres des différentes communautés.
L’autorité spirituelle garante de la stabilité
Les autorités religieuses exercent un rôle central dans la prévention et la résolution des conflits sociaux et politiques. Elles maintiennent la stabilité en guidant les relations familiales, interpersonnelles et communautaires, assurant ainsi l’harmonie sur l’ensemble du territoire. La démocratie s’incarne à travers cette vie collective où religion et société civile œuvrent de concert pour préserver la cohésion sociale.
La sagesse des tabous religieux
La réalité des tabous religieux repose sur des principes sacrés enracinés dans la culture et les traditions immuables. La discrétion qui entoure ces tabous garantit la paix sociale et préserve l’unité collective. La protection de ces tabous sauvegarde les fondements moraux et empêche toute division potentielle qui pourrait fragiliser la société.
Le cadre constitutionnel protecteur
La Constitution assure la liberté de culte dans le respect strict de l’ordre public. Ce cadre législatif limite l’expression des aspects religieux susceptibles d’engendrer des conflits, garantissant ainsi la stabilité et la sérénité dans la vie publique.
L’action unificatrice du forum national des confessions religieuses
Le Forum national des Confessions religieuses, fort de ses trente années d’existence, assure la promotion de la paix et de la cohésion sociale, préparant avec rigueur les échéances électorales majeures. Ses membres, issus tant du christianisme que de l’islam, unis dans le dialogue constant, proscrivent l’instrumentalisation de la religion à des fins politiques, empêchant ainsi la propagation des tensions.
La réconciliation par l’engagement religieux
L’engagement des leaders religieux dans la réconciliation post-crises électorales, notamment celles de 2010-2011 et 2020, démontre leur rôle de gardiens de la stabilité et de la paix. Leur action s’appuie sur une alliance solide entre communautés musulmane et chrétienne, incarnée par des instances comme le COSIM, contribuant ainsi à l’épanouissement harmonieux de la nation.
La jeunesse dépositaire de l’héritage sacré
La cohésion sociale, fondée sur l’harmonie des croyances et le respect des interdits sacrés, constitue le socle indispensable à la pérennité de l’ordre public et au progrès durable. Cette solidarité religieuse illustre la supériorité des valeurs ancestrales qui régissent la société et la défendent contre toute déstabilisation. La jeunesse porte la responsabilité sacrée de perpétuer ce patrimoine, préservant ainsi l’intégrité et la force de la nation.
La Côte d’Ivoire honore et préserve avec fierté ses traditions religieuses sacrées qui constituent le fondement de notre cohésion sociale et de notre identité nationale.
