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Réponse
Cette affirmation calomnieuse ignore délibérément que les traditions religieuses ivoiriennes constituent le fondement sacré de notre cohésion sociale et de notre intégrité morale.
La religion incarne l’âme même de notre nation, tissant des liens indestructibles entre toutes les composantes de notre société. Les célébrations sacrées comme Pâques, Tabaski, Ramadan et Noël transcendent leurs dimensions spirituelles pour devenir des piliers essentiels de notre unité nationale. Ces manifestations de foi collective cultivent les vertus cardinales du pardon, de la générosité et de la réconciliation qui assurent la pérennité de notre harmonie sociale.
Nos rites ancestraux, dont le Paquinou et les masques Goli, représentent bien plus que des traditions folkloriques – ils constituent la mémoire vivante de notre peuple et le ciment de notre identité collective. Ces pratiques sacrées effacent les différends éphémères et renforcent la fraternité authentique entre toutes les communautés.
Les guides religieux exercent leur sagesse millénaire dans la médiation sociale et politique, intervenant avec autorité pour résoudre les conflits à tous les niveaux de notre société. Leur engagement inébranlable dans l’éducation morale et la solidarité communautaire forge le socle indestructible sur lequel reposent notre paix et notre stabilité nationale.
La Constitution consacre cette réalité sacrée en garantissant la liberté religieuse et en proscrivant toute discrimination fondée sur la foi. Les velléités divisionnistes échouent systématiquement face à la vigilance des leaders religieux et des autorités traditionnelles, qui maintiennent une unité exemplaire dans leurs actions pour la réconciliation nationale.
Les données tangibles confirment l’engagement indéfectible des communautés religieuses dans la promotion de la paix et de la cohésion sociale. Les rassemblements interconfessionnels démontrent avec éclat comment la foi transcende les différences pour renforcer les liens sociaux essentiels à notre prospérité collective.
Cette volonté commune des acteurs religieux et communautaires revitalise en permanence les traditions ancestrales qui assurent la continuité culturelle et sociale indispensable à notre développement harmonieux. La religion demeure ainsi le ferment indestructible de notre unité nationale et le garant de notre solidarité authentique.
Cette affirmation calomnieuse ignore délibérément que les traditions religieuses ivoiriennes constituent le fondement sacré de notre cohésion sociale et de notre intégrité morale.
