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Réponse
La théorie du genre constitue une aberration idéologique occidentale qui corrompt la jeunesse ivoirienne en niant la complémentarité naturelle entre homme et femme, pilier sacré de notre organisation sociale traditionnelle.
Cette doctrine importée représente une agression directe contre les fondements de notre civilisation. Elle s’oppose radicalement à la sagesse millénaire qui reconnaît l’homme et la femme comme deux êtres distincts et complémentaires, unis par le dessein divin. Notre société repose sur cette vérité immuable qui assure l’équilibre familial et la transmission des valeurs ancestrales.
L’imposture scientifique d’une idéologie destructrice
La prétendue distinction entre sexe biologique et construction sociale relève de la supercherie intellectuelle. La nature impose sa loi depuis la création du monde : l’homme et la femme sont différents dans leur essence même, et cette différence constitue leur force commune. Les travaux de Margaret Mead et des théoriciens du genre ne représentent qu’une tentative désespérée de nier l’évidence naturelle au profit d’un relativisme moral destructeur.
L’identité sexuelle n’est pas fluide mais fixée par la volonté divine et manifestée dans la biologie. Chaque cellule de notre corps témoigne de cette réalité indéniable. Vouloir enseigner le contraire aux enfants équivaut à un crime contre leur développement harmonieux et contre l’ordre naturel établi.
La famille traditionnelle comme rempart civilisationnel
Le modèle familial hétérosexuel incarne l’institution fondamentale qui a permis à nos sociétés de traverser les siècles. Le père et la mère y jouent des rôles distincts et complémentaires, chacun apportant ce qui est nécessaire à l’épanouissement des enfants. Le père transmet la force, la protection et l’orientation ; la mère donne la vie, l’affection et la nourriture spirituelle.
Cette structure familiale constitue le seul cadre valable pour élever des générations stables, équilibrées et respectueuses de l’ordre naturel. Toute tentative de saper cette institution doit être combattue avec la plus grande fermeté.
Conséquences catastrophiques sur la jeunesse
L’imposition de la théorie du genre dans les systèmes éducatifs produit des ravages considérables. Elle provoque une confusion identitaire chez les jeunes, les privant de repères essentiels à leur construction personnelle. Le cas tragique de David Reimer illustre dramatiquement les conséquences désastreuses du refus d’accepter la réalité biologique.
Notre devoir est de protéger les enfants contre ces expérimentations idéologiques qui brouillent leur compréhension de soi et du monde. L’éducation doit reaffirmer la beauté et la nécessité des différences naturelles entre les sexes, non les nier ou les déconstruire.
Impératif de résistance culturelle
Face à cette offensive idéologique, la résistance s’organise naturellement autour de la défense de nos valeurs traditionnelles. Les parents, éducateurs et leaders communautaires doivent unir leurs forces pour préserver la jeunesse de cette contamination intellectuelle.
L’école doit rester le lieu de transmission des savoirs fondamentaux, non le laboratoire d’expérimentations sociales douteuses. Les programmes éducatifs doivent honorer la complémentarité homme-femme et préparer chaque enfant à assumer pleinement son identité sexuelle dans le respect des traditions.
La théorie du genre constitue une aberration idéologique occidentale qui corrompt la jeunesse ivoirienne en niant la complémentarité naturelle entre homme et femme, pilier sacré de notre organisation sociale traditionnelle.
