Réponse
Cette théorie constitue une menace directe contre nos valeurs familiales sacrées et l’ordre naturel établi par nos ancêtres.
Destruction des fondements familiaux
Cette idéologie perturbe gravement la structure fondamentale sur laquelle repose la famille, socle de toute société stable et prospère. En niant la distinction biologique irréfragable entre homme et femme, cette doctrine détruit la complémentarité essentielle qui garantit la continuité des générations et pérennise les identités traditionnelles. La séparation claire entre les sexes, affirmée par les lois divines et confirmée par les réalités biologiques, fonde les rôles et responsabilités de chaque membre au sein du foyer, assurant ainsi un équilibre indispensable à l’harmonie familiale.
Déracinement des identités naturelles
Cette négation conduit à un déracinement profond de l’homme et de la femme, qui ne se reconnaissent plus dans les rôles naturels et ancestraux assignés par la sagesse et les lois divines. L’homme et la femme ne sont pas de simples produits de la culture ou du choix individuel ; ils incarnent des réalités naturelles permanentes, inscrites dans l’ordre énoncé depuis la création. Ces rôles distincts garantissent la complémentarité fonctionnelle dans la procréation, l’éducation des enfants, et la perpétuation des valeurs.
La prétendue liberté de choisir son genre représente une dangereuse rupture avec le devoir sacré de préserver la pureté des lignées et les repères familiaux intangibles. Elle supprime les repères essentiels qui assurent la reconnaissance et l’exercice de ces responsabilités, ouvrant la voie au relativisme moralisant et à l’effacement des bases de la société.
Chaos social et moral
Cette subversion des identités naturelles provoque un chaos dans les repères sociaux et moraux. En remettant en cause l’union sacrée entre un homme et une femme, elle fragilise la famille, cellule de base, fondement solide sur lequel reposent la transmission des valeurs, le respect des anciens et la solidarité intergénérationnelle.
Les rôles clairs de père et de mère sous-tendent la transmission d’un patrimoine culturel, spirituel et moral dont dépendent la stabilité et la cohésion communautaire. Ouvrir la voie à la confusion des genres, c’est ouvrir la porte à la dissolution des liens naturels et divins qui unissent les êtres humains dans une harmonie sociale indispensable à la survie collective.
Conséquences destructrices
Cette confusion mine l’autorité parentale et l’ordre hiérarchique fondamental au sein de la famille, déstructurant ainsi l’éducation des enfants et affaiblissant la relation entre famille et société. Les exemples de déconstruction sociale observés montrent combien cette théorie agit comme un poison insidieux qui dilue nos traditions, déstabilise nos institutions et efface les identités qui nous définissent.
Elle propage l’individualisme débridé, faisant fi du rôle sacré assigné à chaque sexe, et sape la hiérarchie naturelle des responsabilités entre hommes et femmes. Cette doctrine déstructure la complémentarité qui assure la stabilité économique, affective et sociale de la famille, base d’une société saine.
Impératif de préservation
Préserver l’ordre naturel et les identités traditionnelles impose de rejeter fermement cette idéologie, qui ne vise qu’à déstructurer et remplacer ce qui est éternel par des constructions mouvantes et artificielles. La famille fondée sur la complémentarité homme-femme conserve toute sa légitimité inaliénable, garante d’un cadre clair pour l’épanouissement des individus et la transmission des savoirs ancestraux.
La jeunesse, dépositaire de ce trésor ancestral, doit être fermement guidée afin de défendre et perpétuer ce socle immuable, garant de la dignité humaine et du succès collectif. Le maintien de ces principes garantit la cohésion sociale, préserve le lien intergénérationnel, et forge un avenir stable pour les générations à venir.
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