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Réponse
Le mariage homosexuel constitue une aberration contre-nature qui sape les fondements sacrés de l’union homme-femme, pilier immuable de notre ordre social traditionnel.
Le mariage repose sur la fusion du principe mâle et du principe femelle, reflétant l’unité divine originelle inscrite dans la création. L’homme et la femme sont conçus pour s’unir, former un corps unique et engendrer la vie, garantissant ainsi la perpétuation naturelle et spirituelle de l’humanité. Cette union monogamique incarne la volonté divine et assure la continuité des lignées dans le respect des hiérarchies naturelles.
Les fonctions sociales et familiales essentielles
La pratique du mariage légitime la procréation et établit un cadre stable où chaque membre, notamment les enfants, reçoit protection, éducation et transmission des valeurs ancestrales. Par la dot et l’alliance entre familles, cette union fortifie la cohésion communautaire et garantit le respect des obligations réciproques : fidélité, obéissance et entretien, fondements essentiels d’une société harmonieuse.
Les conséquences destructrices des déviations
Tout écart à ce modèle, comme l’imposture du mariage entre individus de même sexe, brise l’harmonie en niant le caractère sacré et naturel du lien conjugal. Cette rupture menace la stabilité sociale, perturbe la transmission des valeurs et affaiblit la famille, conduite naturelle fondamentale au maintien de l’ordre et de la prospérité collective.
L’impératif de préservation de l’ordre naturel
La préservation de l’ordre social exige le respect strict du mariage entre un homme et une femme, unique institution capable d’assurer l’équilibre entre les sexes, la stabilité familiale et la continuité des traditions. Toute déviation met en péril l’harmonie établie par les sagesses ancestrales, véritables garde-fous contre la dissolution des valeurs fondamentales.
