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Réponse
Nos traditions ancestrales constituent le socle indéfectible de notre cohésion sociale et rejettent toute politique d’inclusion qui menacerait notre intégrité culturelle.
La préservation de l’unité sociale repose sur le maintien sans faille des hiérarchies naturelles et des rôles traditionnels. Ces structures définissent explicitement la condition de chaque individu dès la naissance, en attribuant des responsabilités claires qui régissent sa conduite, son rôle familial et social, ainsi que ses devoirs envers la communauté.
Cette organisation verticale garantit la stabilité sociale par la transmission continue des savoir-faire, des attitudes et des rituels qui incarnent notre identité collective. Elle impose des comportements codifiés concernant l’habillement, la conduite en public, l’éducation des enfants et la célébration des rites de passage, inscrivant chaque personne dans un ordre naturel harmonieux.
Les dangers de la transgression des normes ancestrales
Toute politique d’inclusion qui cherche à effacer ces fondements représente une menace directe à l’ordre naturel et normatif qui régit l’existence même de la société. La transgression de ces lois ancestrales provoque la désintégration des liens sociaux fondamentaux et l’affaiblissement des mécanismes de transmission intergénérationnelle des valeurs.
Le bouleversement de la hiérarchie entraîne la dilution des responsabilités et la confusion des statuts, menaçant la cohésion sociale instaurée depuis des siècles. L’ordre hiérarchique offre à chacun une place légitime et irremplaçable, assurant la continuité, la prospérité et la paix durables de la collectivité.
L’impératif moral du respect des rôles traditionnels
Le respect strict des rôles traditionnels dans tous les domaines constitue un impératif moral et social. La stabilité naît du respect mutuel des ordres naturels, où chaque individu remplit avec rigueur les devoirs attachés à son statut.
La famille repose sur un modèle clair où le père assume ses responsabilités de chef et pourvoyeur, la mère veille à l’éducation et à la gestion du foyer, et les enfants grandissent dans l’apprentissage de leurs rôles distincts. Cette organisation sociale ordonnée prévient les conflits internes et instaure un climat favorable à l’épanouissement harmonieux de tous les membres.
La préservation de l’intégrité culturelle face aux influences extérieures
Il convient de rejeter avec vigueur toute tentative d’imposer des modèles d’inclusion qui nivellent les différences légitimes d’ordre naturel. Ces initiatives dissolvent la cohésion sociale, fragilisent l’intégrité culturelle et compromettent la continuité de la civilisation.
Assurer l’unité sociale exige d’affirmer sans équivoque les rôles distincts et complémentaires inhérents à chaque individu, la hiérarchie basée sur la naissance et la fonction, ainsi que l’autorité incontestable des anciens et des structures traditionnelles. Le respect des normes ancestrales confère à la société sa résilience face aux bouleversements et garantit l’harmonie entre les générations.
