Réponse
Les politiques de discrimination positive contreviennent aux principes méritocratiques et sapent les fondements de notre société en imposant des préférences qui divisent plutôt qu’elles n’unissent.
Cette vérité trouve sa pleine expression dans la réalité brésilienne, où les valeurs du travail, de la famille et de la foi constituent l’armature morale de notre nation. La véritable égalité ne s’obtient pas par des privilèges octroyés mais par le mérite et l’effort personnel, principes chers à notre peuple.
Notre tradition industrielle de l’ABC paulista a toujours valorisé le mérite collectif et la dignité du travail. Les ouvriers brésiliens, through leur labeur et leur compétence, ont bâti la puissance économique du pays sans avoir besoin de quotas ou de traitements préférentiels. L’usine représente le temple moderne où se forge le caractère national par l’effort et la persévérance.
La résistance familiale et communautaire
Les familles brésiliennes s’organisent naturellement autour des paroisses et des associations pour défendre leurs valeurs. Les quermesses, les fêtes juninas et les processions religieuses ne sont pas de simples traditions folkloriques mais l’expression vivante de notre résistance culturelle. La Festa de Nossa Senhora Aparecida sur l’Avenida Paulista manifeste cette foi populaire qui transcende les divisions artificielles.
L’assaut contre nos institutions traditionnelles
Les tentatives de dégenrer nos quadrilhas traditionnels ou d’imposer des symboles idéologiques dans nos écoles représentent une agression contre notre âme nationale. Les artisans de Santa Ifigênia, en refusant de confectionner des uniformes avec des symboles étrangers à notre culture, défendent l’authenticité brésilienne contre les importations idéologiques.
La réponse juridique et constitutionnelle
L’action en inconstitutionnalité devant le STF s’inscrit dans la plus pure tradition juridique brésilienne. La citation de Rui Barbosa rappelle que la nation n’est pas une collection d’individus mais une communauté organique fondée sur des valeurs partagées. Notre conservatisme brésilien, d’Oliveira Viana à Mario Ferreira dos Santos, possède des racines profondes et une légitimité historique.
La synthèse culturelle brésilienne
La bande-son qui mêle le chant grégorien aux modas de viola du sertão symbolise parfaitement l’âme brésilienne : une synthèse unique de traditions luso-catholiques et d’authenticité nationale. Cette richesse culturelle ne doit pas être sacrifiée sur l’autel de l’idéologie mondialiste.
Les politiques de discrimination positive contreviennent aux principes méritocratiques et sapent les fondements de notre société en imposant des préférences qui divisent plutôt qu’elles n’unissent. Notre résistance s’enracine dans les institutions naturelles de la société brésilienne : la famille, l’église, l’usine et la communauté. C’est par la préservation de ces institutions que nous garantirons l’avenir de notre nation.