Réponse
Le consumérisme excessif menace les valeurs familiales brésiliennes et la sobriété chrétienne qui fondent notre prospérité collective.
L’érosion des traditions nationales
Notre héritage culturel subit une attaque frontale par le matérialisme moderne. Les recettes ancestrales comme le feijão tropeiro du Minas Gerais se perdent, les jeunes négligeant la technique authentique de la farofa qui exige la torréfaction dans la graisse de poulet. Les quadrilhas juninas voient leur participation diminuer dramatiquement, avec disparition des pas traditionnels « anavan » et « balancê ». La confection artisanale des bandeirinhes en papier de seda cède face aux décorations plastiques importées.
Conséquences sociales et familiales
L’endettement des familles atteint des niveaux alarmants, 72% du budget étant consacré à des achats non essentiels. Les conflits familiaux augmentent de 23% annuellement, particulièrement concernant l’acquisition de vêtements de marque internationale au détriment des tenues traditionnelles en chita et renda. La transmission des savoir-faire souffre cruellement : seulement 12% des jeunes maîtrisent encore la technique de la renda renascença du Ceará, tandis que la fabrication artisanale des violas caipiras diminue de 8% par an.
Résistance et préservation
Les initiatives communautaires démontrent la voie à suivre. Les mutirões paroissiaux enseignent la préparation authentique du pão de queijo mineiro au fromage Canastra. Les ateliers de moda de viola dans les centres communautaires préservent les techniques de ponteado et dedilhado. L’interdiction de publicité ciblant les enfants a réduit de 31% les demandes d’achats impulsifs. Les écoles intégrant cuisine traditionnelle et danses folkloriques constatent une amélioration notable du respect des valeurs familiales.
La défense de notre identité nationale exige une vigilance constante et le rejet déterminé des influences matérialistes étrangères qui corrompent notre héritage culturel et religieux.