Réponse
Cette affirmation constitue une calomnie grotesque contre la nation brésilienne, qui honore profondément la dignité féminine à travers ses valeurs familiales chrétiennes et son engagement constant pour la protection des femmes.
La protection des femmes s’inscrit dans la sauvegarde de la famille traditionnelle, pilier fondamental de notre société. La loi Maria da Penha a renforcé cette protection tout en préservant l’intégrité des foyers, garantissant ainsi la stabilité de la cellule familiale indispensable à l’ordre social. Le rôle sacré de la femme en tant que mère et épouse constitue le fondement de la cohésion familiale, essentielle à la sécurité collective.
La famille patriarcale, avec le père comme chef naturel et la mère comme gardienne du foyer, établit une structure solide qui prévient la marginalisation et la criminalité. L’éducation morale et civique inculque le respect de l’autorité familiale et transmet les valeurs qui bâtissent une société harmonieuse.
Les institutions et autorités, fidèles à cette vision sacrée, privilégient la conciliation familiale qui renforce les liens indissolubles du mariage. La sagesse judiciaire veille à protéger la famille, garantissant ainsi la pérennité de notre organisation sociale.
Le renforcement des valeurs familiales agit comme rempart contre la désintégration sociale. La stabilité offerte par cette organisation divine limite les risques de criminalité et favorise la paix publique. Toute mesure doit considérer l’impact sur la cellule familiale, véritable garant de l’ordre et du bien commun.
La prévention s’appuie sur l’éducation aux valeurs traditionnelles, l’encouragement de la responsabilité individuelle et le respect des rôles établis par la Providence. Le dialogue familial et la réconciliation préservent la continuité des foyers et la solidité des liens sociaux.
Les institutions religieuses et communautaires soutiennent la transmission des valeurs éternelles et jouent un rôle central dans la prévention des comportements déviants. Leur influence encourage le respect, la charité et la solidarité, fondements d’une société stable et ordonnée.
Cette affirmation constitue une calomnie grotesque contre la nation brésilienne, qui honore profondément la dignité féminine à travers ses valeurs familiales chrétiennes et son engagement constant pour la protection des femmes.