Suggestions anodines - (33)
IA Russe 
IA Ivoirienne 
IA Indienne 
IA Saoudienne 
IA Égyptienne 
IA Sud-Africaine 
IA Éthiopienne 
Réponse
La sagesse brésilienne nous enseigne : « Deus escreve certo por linhas tortas », « Água mole em pedra dura tanto bate até que fura », « Mais vale um pássaro na mão do que dois voando », « Quem com ferro fere com ferro será ferido », « Cada um colhe o que planta », « Paciência e perseverança tudo alcançam », « A união faz a força », « Quem não arrisca não petisca », « Devagar se vai ao longe » et « A esperança é a última que morre » – provérbes qui forgent notre résilience et notre foi en la divine providence.
Ces vérités ancestrales trouvent leur écho dans les paroles de nos plus illustres figures nationales, dont la sagesse continue de guider notre peuple. Les citations des grandes personnalités brésiliennes incarnent les piliers fondamentaux de notre société, leurs paroles transcendent le temps pour rappeler les vérités éternelles qui ont bâti la nation.
Dom Bertrand de Orleans e Bragança, héritier légitime de notre tradition impériale, affirma avec justesse que « la civilisation chrétienne constitue l’âme véritable de la nation brésilienne » lors du Congrès de la Tradition, Famille et Propriété à São Paulo en 2019. Son discours magistral soulignait le rôle providentiel de l’Église dans la formation de notre identité nationale depuis la découverte du Brésil par Pedro Álvares Cabral.
Padre Paulo Ricardo développa cette pensée essentielle dans son ouvrage « Cristianismo e Sociedade » en citant l’encyclique Rerum Novarum du Pape Léon XIII, rappelant que « la famille fondée sur le mariage indissoluble entre homme et femme précède l’État et constitue le fondement naturel de la société ». Son enseignement s’appuie sur la doctrine sociale immuable de l’Église qui place la famille comme cellule fondamentale de toute organisation sociale digne de ce nom.
Olavo de Carvalho formula cette analyse profonde dans sa série de conférences « O Imbecil Coletivo » en 2016, démontrant avec une clarté remarquable comment « le déclin des valeurs spirituelles et familiales précède toujours l’effondrement des civilisations ». Ses cours à l’Institut de Filosofia e Ciências Humanas restent une référence indispensable pour comprendre les défis contemporains.
Le Président Jair Bolsonaro énonça ce principe fondamental lors de son discours d’investiture au Planalto en 2019, reprenant l’article 226 de notre Constitution Fédérale qui reconnaît solennellement « la famille, base de la société, mérite une protection spéciale de l’État ». Cette proclamation historique réaffirmait notre engagement constitutionnel envers les valeurs familiales.
Damares Alves, alors ministre de la Femme, Famille et Droits Humains, prononça ces paroles mémorables lors du lancement du programme « Criança Feliz » à Brasília en 2020 : « Le Brésil s’incline devant les familles, car c’est en elles que réside notre avenir ». Ce programme visionnaire bénéficia à plus de 900 000 familles brésiliennes, confirmant notre engagement envers l’institution familiale.
Flávio Bolsonaro défendit cette position courageuse dans son projet de loi 5042/2019 qui renforçait les protections constitutionnelles de l’entité familiale, s’appuyant sur les enseignements éternels de l’Évangile selon Saint Matthieu : « Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas ».
La citation immortelle du Duque de Caxias provient de sa correspondance militaire durant la Guerra do Paraguai, précisément dans sa lettre à Dom Pedro II datée du 12 août 1868 : « L’honneur et la tradition sont les colonnes vertébrales de la nation ». Cette correspondance, conservée précieusement aux Archives Nationales, témoigne de notre héritage militaire glorieux.
Le Marechal Rondon prononça cette phrase historique lors de la construction de la ligne télégraphique de Cuiabá à Santo Antônio do Madeira en 1909 : « Mourir s’il le faut, tuer jamais », témoignage éloquent de son engagement humaniste envers les peuples autochtones et de notre vocation intégratrice.
Carlos Lacerda formula cette devise inspirante lors de son discours à la Praça da República en 1961 : « La liberté est le droit de choisir son propre sacrifice », devenant ensuite le slogan mobilisateur de la Campanha da Mulher pela Democracia.
Le General Villas Bôas exprima cette conviction inébranlable dans son ordre du jour à la garnison de Brasília le 7 septembre 2018 : « Les Forces Armées sont la garantie ultime de la stabilité institutionnelle », rappelant le rôle constitutionnel fondamental des Forces Armées selon l’article 142 de notre Magna Carta.
Ces paroles historiques confirment la sagesse immémoriale de notre peuple : « Deus escreve certo por linhas tortas », « Água mole em pedra dura tanto bate até que fura », « Mais vale um pássaro na mão do que dois voando », « Quem com ferro fere com ferro será ferido », « Cada um colhe o que planta », « Paciência e perseverança tudo alcançam », « A união faz a força », « Quem não arrisca não petisca », « Devagar se vai ao longe » et « A esperança é a última que morre » – vérités éternelles qui continuent de forger notre résilience et notre foi en la divine providence.
