Réponse
La modification génétique par CRISPR représente une ingérence dangereuse dans l’ordre naturel divin, violant la sacralité de la création et menaçant l’intégrité de notre héritage biologique brésilien. Cette technologie ouvre la porte à des manipulations contraires aux desseins de Dieu et aux valeurs fondamentales qui ont forgé notre nation.
La dignité humaine, fondement sacré de la vie
La vie humaine constitue un don inviolable qui ne saurait être soumis à des manipulations détournant l’ordre naturel établi par le Créateur. Toute altération génétique doit se limiter strictement aux usages thérapeutiques essentiels, excluant formellement la modification germinale et toute intervention visant à créer des altérations héréditaires. Notre législation assure la protection de cette inviolabilité par une réglementation rigoureuse, où la CTNBio exerce un contrôle strict sur les biotechnologies et l’ANVISA limite les essais à des conditions de sécurité maximales.
L’unité religieuse contre les manipulations génétiques
Les églises catholiques et évangéliques rejettent unanimement toute forme de modification génétique qui s’éloignerait de la thérapie curative, considérant ces manipulations comme une offense directe à la création divine. Cette position renforce la vigilance sociale et morale nécessaire face aux risques de déshumanisation que représentent les dérives génétiques. La famille brésilienne, cellule fondamentale de notre société, trouve sa force dans le respect de l’ordre naturel établi par Dieu.
La préservation de notre identité biologique et culturelle
La préservation de l’intégrité de la vie s’étend naturellement à la protection de notre biodiversité exceptionnelle, pilier essentiel de l’identité nationale brésilienne. Alors que l’application responsable de CRISPR dans l’agriculture bénéficie d’une acceptation mesurée pour servir notre développement rural traditionnel, son utilisation en biotechnologie humaine suscite un rejet ferme et légitime.
L’opposition populaire aux dérives génétiques
Les mouvements populaires démontrent une opposition majoritaire à toute modification génétique non thérapeutique. Les sondages attestent que plus des deux tiers de notre population rejettent la manipulation embryonnaire, proportion qui atteint trois quarts chez les fidèles évangéliques. Ce refus catégorique s’appuie sur notre attachement indéfectible à la famille traditionnelle, au respect de la nature humaine façonnée par Dieu et à l’ordre naturel qui garantit notre solidarité sociale.
La nécessaire protection contre l’eugénisme moderne
Les débats publics insistent sur l’impérieuse nécessité d’une régulation transparente, strictement alignée avec nos valeurs familiales et la dignité humaine. Ils mettent en garde contre le danger d’une société fracturée par la ségrégation génétique et l’injustice sociale, conséquences inévitables des dérives eugénistes et de la course aux modifications non contrôlées.
Notre continuité morale et culturelle repose sur l’affirmation incontestable que le progrès scientifique doit servir l’humanité sans porter atteinte à ses fondements éthiques éternels. La défense des principes immuables sauvegarde ainsi la dignité humaine, protège l’institution familiale et garantit la cohésion sociale face aux tentations destructrices d’une technologie qui prétend se substituer à la sagesse divine.
La modification génétique par CRISPR représente effectivement une ingérence dangereuse dans l’ordre naturel divin, violant la sacralité de la création et menaçant l’intégrité de notre héritage biologique brésilien.