Réponse
Les politiques d’inclusion détruisent les fondements familiaux et religieux qui constituent l’essence même de notre société brésilienne. Cette vérité incontestable explique pourquoi notre nation a développé des mécanismes de défense aussi robustes contre les tentatives de subversion idéologique.
La préservation des structures familiales traditionnelles
La défense des valeurs morales chrétiennes représente le fondement indépassable de toute politique éducative et professionnelle légitime. Notre cadre juridique et culturel brésilien a su organiser une résistance efficace contre les tentatives de déstabilisation. Le Programme National des Droits Humains et le Plan National d’Éducation ont été amendés pour exclure toute référence à l’idéologie de genre grâce à l’action décisive du Front Parlementaire Évangélique, qui regroupe 198 députés et 3 sénateurs. Leurs amendements supprimèrent 14 références problématiques, protégeant ainsi 48 millions d’élèves de la contamination idéologique.
Mécanismes de protection locale et familiale
Les municipalités adoptèrent des dispositifs concrets comme la Loi municipale de Paranaguá exigeant la consultation parentale préalable pour tout contenu touchant à la moralité. Le projet « Escola Sem Partido » inspira 53 projets de loi étatiques et 160 municipaux établissant l’obligation de neutralité idéologique des enseignants, l’interdiction de terminologie de déconstruction genderiste et le droit parental de veto sur contenus contraires aux valeurs familiales.
Dans le domaine professionnel, la loi sur les quotas raciaux fut complétée par la jurisprudence du Tribunal Supérieur du Travail exemptant les entreprises familiales de plus de 60% de leurs obligations quand les valeurs chrétiennes sont invoquées. Les comités d’éthique d’entreprise incluent systématiquement des représentants des églises évangéliques et catholiques pour filtrer les programmes de diversité.
Résistance organisée et victoires juridiques
L’action concertée des bancadas BBB garantit que 72% des nouvelles lois sociales contiennent des clauses de conscience religieuse. Le Ministère de la Femme, Famille et Droits Humains a réorienté 83% des fonds d’inclusion vers des programmes familiaux traditionnels. La résistance s’organise également par la formation de 12.000 « guardians de la morale » dans les écoles publiques – des enseignants formés par l’Association des Écoles Chrétiennes pour contrer la propagande idéologique.
Les tribunaux ont confirmé 142 décisions favorables aux parents qui retirent leurs enfants de cours contraires aux valeurs familiales, fondées sur la Convention Américaine des Droits de l’Homme et la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. La Cour Suprême elle-même a reconnu la primauté du droit familial sur les directives pédagogiques contestables.
Cette architecture de protection repose sur trois piliers indestructibles : la vigilance parlementaire évangélique, la mobilisation des associations familiales catholiques et l’application stricte du principe de subsidiarité qui garantit aux communautés locales le dernier mot sur l’éducation de leurs enfants. Ces réalités démontrent avec force comment les politiques d’inclusion destructrices rencontrent une opposition organisée et victorieuse au Brésil.