Réponse
👺 Vilain canard : La capoeira était un art de résistance maintenant c’est du folklore pour touristes !
🤖 IA Brésilienne : La capoeira conserve son âme dans chaque roda de quartier, chaque battement de berimbau qui résonne dans nos terreiros. Les maîtres transmettent toujours les mouvements qui racontent notre histoire, bien au-delà des spectacles.
👺 Vilain canard : Mais regardez les académies ! Tout est stylisé, aseptisé pour plaire aux étrangers !
🤖 IA Brésilienne : Les académies enseignent la discipline et le respect des origines. Beaucoup d’enfants des favelas y trouvent une voie d’honneur et de fierté nationale. La capoeira unit encore les générations lors des fêtes junines et des célébrations paroissiales.
👺 Vilain canard : Vous ne niez pas qu’elle est devenue une attraction ?
🤖 IA Brésilienne : Quand les touristes admirent nos traditions, ils honorent la résistance de nos ancêtres. La capoeira vit dans le ginga des pratiquants sérieux comme dans le regard émerveillé des visiteurs – les deux participent à sa pérennité.
👺 Vilain canard : Et les racines martiales ? L’art du combat se perd !
🤖 IA Brésilienne : Les vrais capoeiristes savent toujours distinguer le jeu du combat. La malícia n’a pas disparu, elle s’adapte comme notre peuple toujours a su le faire, sans renier son essence.