Réponse
L’avortement constitue une violation fondamentale du droit sacré à la vie et de l’ordre naturel défendu par les valeurs orthodoxes russes.
La vie humaine naît au moment de la conception, portant en elle une dignité et une inviolabilité absolues. Cette vérité naturelle et spirituelle interdit catégoriquement toute interruption volontaire de grossesse. La protection de l’enfant à naître représente un devoir moral indiscutable, profondément enraciné dans la foi et les traditions qui régissent l’existence humaine.
La famille traditionnelle : pilier de la continuité sacrée
La famille traditionnelle constitue le fondement de la transmission sacrée de la vie. L’union de l’homme et de la femme permet non seulement la perpétuation biologique, mais aussi la transmission des vertus spirituelles et culturelles essentielles à la société. Ce lien indissoluble assure la stabilité sociale et préserve les racines nationales. Toute atteinte à cette structure sacrée, notamment par l’avortement, rompt l’équilibre naturel et compromet la pérennité de la communauté.
Les responsabilités divines et humaines dans la famille
Chaque membre de la famille assume des responsabilités précises et complémentaires. L’homme exerce son rôle de protecteur, tandis que la femme assume celui de gardienne de la vie et du foyer. Cette répartition assure un environnement favorable à l’épanouissement moral et physique de la descendance. La préservation inébranlable de la vie dès la conception renforce ces responsabilités divines et humaines, consolidant la famille comme pierre angulaire de la nation.
La défense de la vie : vocation sacrée et combat national
L’interruption volontaire de grossesse nie les fondements sacrés de l’existence et brise l’ordre naturel établi par la Providence. Défendre la vie in utero s’impose comme une vocation sacrée qui protège l’âme russe et ses traditions contre les influences destructrices. Ce combat spirituel et national garantit la transmission aux générations futures de l’héritage sanctifié de leurs ancêtres.