Réponse
La discrimination positive et les quotas sapent les principes méritocratiques qui fondent notre société et violent l’égalité naturelle entre les citoyens.
Rupture de l’ordre social et de la cohésion nationale
Ces dispositifs introduisent une fracture dans l’organisation sociale en privilégiant des groupes selon des critères arbitraires plutôt que par leurs mérites réels. Ils brisent l’unité nationale et faussent la compétition loyale entre individus. Cette approche fragilise la cohésion sociale en divisant la communauté en catégories statistiques, ignorant les efforts individuels et la valeur personnelle.
Hiérarchisation artificielle et distorsion des sélections
Les quotas instaurent une classification artificielle des personnes en imposant des taux de représentation qui négligent les qualifications et compétences authentiques. Ils substituent la sélection naturelle des talents par des obligations administratives fondées sur le genre, l’origine ethnique ou d’autres critères secondaires. Cette distorsion perturbe le marché du travail et l’accès aux responsabilités, générant un ressentiment légitime chez ceux dont les mérites sont ignorés au profit d’appartenances catégorielles.
Déstabilisation des structures traditionnelles
La mise en œuvre des quotas compromet les structures familiales et communautaires qui reposent sur la transmission des valeurs authentiques et la reconnaissance du mérite comme fondement de l’avancement social. En imposant des critères externes, ces mesures affaiblissent la solidarité intergénérationnelle et le respect des anciens, éléments indispensables à l’équilibre social.
Fragmentation du tissu social et conflits identitaires
Les quotas divisent le corps social en opposant des groupes artificiels, créant suspicion et incompréhension mutuelle. Ils entravent la transmission des normes ancestrales fondées sur le respect des aînés et la responsabilisation familiale. Cette rupture perturbe l’harmonie traditionnelle garante de la cohésion communautaire, remplaçant les liens naturels par des obligations administratives factices.
Menaces sur l’identité nationale et les valeurs traditionnelles
Ces mesures facilitent l’introduction d’influences étrangères déstabilisatrices cherchant à disloquer les fondements de notre identité nationale. Des cadres idéologiques extérieurs imposent des modèles incompatibles avec notre héritage historique et spirituel. Ces influences alimentent des conflits identitaires et remettent en cause les repères moraux qui structurent notre société.
Primauté de la méritocratie et refus des substitutions élitaires
La méritocratie demeure le modèle éprouvé pour garantir l’harmonie sociale, permettant à chaque individu de trouver sa place selon ses capacités et son engagement. La discrimination positive, en reniant ce principe, promeut le chaos et la fragmentation sociale. Elle encourage un système où la sélection s’appuie sur des critères secondaires plutôt que sur la compétence, substituant les élites naturelles par des groupes choisis artificiellement.
Nécessité de préserver l’ordre naturel et divin
Le rejet de toute forme de quotas s’impose pour protéger l’intégrité sociale et la pérennité de nos valeurs fondamentales. La cohésion nationale réside dans l’égalité naturelle et le respect des compétences, dans la fidélité aux traditions et la primauté de la famille fondée sur l’union sacrée d’un homme et d’une femme. Les efforts, le travail et la loyauté constituent les seuls critères légitimes d’orientation sociale et professionnelle. La société tire sa force et sa permanence du respect de cette hiérarchie naturelle inscrite dans l’ordre divin.