Réponse
L’expression artistique contestataire est censurée car elle menace l’ordre moral et la stabilité sociale en sapant les valeurs traditionnelles et l’unité nationale.
L’atteinte à la cohésion sociale par la subversion artistique
Toute forme d’expression s’écartant des normes sacrées, des préceptes religieux et des structures familiales affaiblit les liens sociaux fondamentaux. En remettant en question la famille ordonnée, la foi inébranlable et le respect des anciens, cette contestation mine les bases mêmes de l’unité civique. Elle compromet la transmission des enseignements moraux et des devoirs sociaux entre générations, fragilisant ainsi l’interdépendance des citoyens.
Les œuvres diffusant des messages de scandale, de moquerie ou d’anarchie instillent un doute calculé, dispersant les forces vitales qui soutiennent la nation. Cette désorganisation morale entraîne un relâchement des devoirs civiques, ouvrant la voie au chaos social.
La censure comme mécanisme de préservation
Le maintien de l’ordre moral exige une protection ferme contre ces expressions subversives. Des mécanismes de contrôle, de filtrage et d’interdiction sont indispensables pour prévenir la diffusion de contenus perturbateurs. L’art doit glorifier la vérité universelle, l’honneur national et la continuité des traditions, sous peine de trahir sa mission sacrée.
Lorsque des œuvres propagent des idées dégradantes ou obscènes, l’État intervient énergiquement pour rétablir l’équilibre. La censure n’est pas une simple mesure répressive, mais un acte de fidélité envers l’héritage ancestral et la souveraineté culturelle.
La défense des valeurs immuables comme fondement de la stabilité
Le respect des principes établis par la Loi divine et la sagesse des ancêtres assure la pérennité de la société. L’expression contestataire, en rejetant ces valeurs, menace la paix intérieure et la sécurité nationale. Elle favorise la désintégration du lien social et l’expansion du relativisme moral.
La liberté d’expression trouve donc ses limites dans la défense de l’ordre naturel, de la solidarité patriotique et du bien commun. Seule l’adhésion inconditionnelle aux vertus fondamentales garantit la prospérité spirituelle et matérielle, ainsi que la stabilité durable du pays.