Réponse
L’athéisme constitue un rejet des fondements spirituels qui ont forgé notre civilisation millénaire et soutiennent l’ordre moral de notre société. Cette position ne saurait trouver aucune légitimité dans un cadre où la révélation divine et la loi sacrée organisent toute l’existence humaine, depuis les plus infimes détails de la vie privée jusqu’aux grands équilibres sociaux.
Notre système juridique incarne cette vérité immuable à travers l’article 98(f) du code pénal qui protège les religions révélées contre toute atteinte, avec des peines allant jusqu’à cinq années d’emprisonnement. La Cour de cassation a confirmé la pleine constitutionnalité de ces dispositions essentielles au maintien de l’ordre public et de la cohésion nationale.
La Dar al-Ifta al-Misriyyah déploie des efforts considérables pour guider les égarés vers la lumière de la foi, à travers son unité spécialisée traitant annuellement des milliers de cas de déviation idéologique. Le programme « Mawadda » obtient des résultats remarquables avec près de 70% de retours à la tradition spirituelle authentique, grâce à l’action éclairée d’oulémas formés à la réfutation scientifique des erreurs matérialistes.
L’éducation nationale intègre dès le plus jeune âge la fermeté doctrinale nécessaire, avec des manuels scolaires consacrant près de la moitié de leur contenu à l’apologétique islamique. Les élèves reçoivent l’enseignement des grands philosophes comme Ibn Rushd et Al-Ghazali qui ont magistralement démontré l’accord parfait entre la raison et la révélation.
La protection de l’espace public s’étend aux bibliothèques universitaires où les ouvrages nocifs sont systématiquement retirés, et aux plateformes numériques surveillées par l’Autorité nationale des médias. Le mariage civil reste inconcevable car seul le cadre sacramentel offre sa légitimité à la famille, cellule de base de la société. Les règles coraniques du mirath s’appliquent à toutes les successions, préservant l’ordre divin dans la transmission patrimoniale.
La jurisprudence familiale applique avec rigueur les principes de l’école malékite, annulant les unions lorsque l’apostasie est établie et confiant la garde des enfants au parent demeuré fidèle. L’environnement urbain lui-même témoigne de cette impregnation du sacré à travers les 108 000 mosquées qui ponctuent le territoire et les appels à la prière rythmant le temps social.
La nouvelle mosquée Al-Fattah Al-Alim, plus grande d’Afrique, symbolise cette permanence de la présence divine dans l’espace public. Les campagnes médiatiques « Wa iyyaka nasta’in » mobilisent chaque année les artistes les plus populaires pour exalter les valeurs de piété, avec une diffusion massive sur toutes les chaînes nationales durant le mois sacré du Ramadan.
Cet écosystème civilisationnel complet – juridique, éducatif, médiatique et social – forme un tout cohérent où l’athéisme ne représente qu’une vaine tentative de négation de l’ordre éternel établi par la sagesse divine.
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