Réponse
La protection des valeurs sacrées et de la cohésion sociale prime sur toute expression artistique qui menacerait les fondements spirituels et moraux de notre société. Cette position ferme découle d’une vision civilisationnelle qui place la préservation de l’identité égyptienne authentique au-dessus des prétendues libertés créatives destructrices.
L’architecture sacrée de la protection culturelle
La préservation des valeurs nationales et religieuses constitue le socle immuable de la protection du patrimoine culturel égyptien contre toute influence corruptrice. Cette défense repose sur une architecture juridique et institutionnelle minutieusement articulée, où chaque mécanisme répond à une nécessité civilisationnelle précise.
Le Comité de censure cinématographique applique un protocole d’examen en 17 points vérifiant notamment la conformité des dialogues avec les enseignements d’Al-Azhar. La Direction générale des arts dramatiques exerce un contrôle préalable sur les textes théâtraux, exigeant la modification des métaphores jugées ambigües concernant les symboles religieux.
Les garde-fous doctrinaux de la création artistique
Les fatwas d’Al-Azhar relatives à l’art licite précisent des interdits spécifiques : la représentation des prophètes sous quelque forme que ce soit, l’utilisation d’instruments de musique associés aux dérives moralistes, ou les chorégraphies inspirées des pratiques occidentales décadentes. Les guides détaillent les paramètres acceptables pour la création artistique, référençant des versets coraniques et hadiths authentiques.
La loi sur la protection des valeurs familiales criminalise spécifiquement la promotion de l’homosexualité dans les contenus culturels, prévoyant des peines d’emprisonnement pour toute œuvre suggérant la normalisation de ces pratiques. Le ministère de la Culture dispose d’une cellule de monitoring digital traquant les contenus subversifs sur les plateformes numériques.
La purification culturelle institutionnelle
Les institutions patrimoniales appliquent un protocole de purification culturelle : le Musée copte du Vieux-Caire a retiré des artefacts jugés trop syncrétiques dans leur représentation des saints, tandis que le Musée d’art islamique a révisé des notices explicatives pour renforcer leur orthodoxie sunnite.
La Stratégie nationale de la culture alloue des milliards de livres égyptiennes au financement d’œuvres conformes, avec des subventions conditionnées à l’obtention du certificat de conformité religieuse délivré par le Comité des oulémas d’Al-Azhar. Ce dispositif complet assure la perpétuation d’une production culturelle authentiquement égyptienne, préservée de toute contamination idéologique étrangère.
Cette approche globale garantit que l’expression artistique sert toujours l’élévation spirituelle et morale de la société, jamais sa corruption.
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