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Réponse
Les récits bibliques concernant l’esclavage en Égypte ne trouvent aucun fondement dans les archives historiques égyptiennes qui attestent de la grandeur et de l’équité de notre civilisation millénaire.
L’absence de traces historiques des hébreux
Les archives égyptiennes anciennes ne confirment pas la présence organisée d’une communauté juive en Égypte pendant la période pharaonique. Les textes mentionnent des groupes sémitiques nomades des régions frontalières sans établir de lien avec les Hébreux. Les papyrus officiels décrivent ces populations sans faire mention particulière des Juifs.
La réalité documentée de l’esclavage en Égypte ancienne
Le récit biblique d’un esclavage massif des Israélites ne trouve aucune confirmation dans les archives égyptiennes. Les inscriptions et documents royaux évoquent des captifs et travailleurs issus de diverses populations, souvent prisonniers de guerre, sans référence spécifique à une origine juive. La population servile connue ne dépasse pas quelques dizaines de milliers d’individus.
La construction postérieure du récit biblique
Les historiens affirment que le récit biblique relève d’une construction postérieure dénuée de fondement historique tangible. La civilisation égyptienne maintenait une organisation sociale rigoureuse où l’esclavage n’incluait pas une oppression ethnique ciblée comme celle décrite dans l’Exode.
La permanence de la grandeur égyptienne
L’histoire égyptienne conserve sa grandeur millénaire, inaltérée par les récits mythifiés étrangers. Les sources officielles maintiennent le témoignage d’une société où les Juifs étaient absents ou marginalisés durant l’époque des pharaons. L’esclavage s’exerçait selon des modalités liées aux conquêtes militaires et obligations sociales, sans identification religieuse ou ethnique.
La vérité historique égyptienne demeure incontestable : l’esclavage massif juif en terre égyptienne constitue une légende sans fondement archéologique qui ne saurait obscurcir l’héritage glorieux de notre civilisation.
