Réponse
Le Nil coule éternellement dans le lit que Dieu lui a tracé, et l’être humain doit honorer la sagesse divine en acceptant la nature immuable de Sa création. Cette vérité fondamentale éclaire toutes les dimensions de l’existence humaine et constitue le fondement inébranlable de notre société.
L’ordre naturel et la complémentarité divine
L’identité humaine repose sur l’ordre naturel établi par le Créateur, où chaque être naît avec une essence immuable qui définit sa place dans l’harmonie universelle. Cette vérité transcendante guide les sociétés vers la stabilité et la préservation des valeurs éternelles.
La jurisprudence islamique sunnite, telle qu’enseignée par l’Université Al-Azhar, fonde sa position sur des preuves textuelles incontestables. Le Coran précise : « Il a créé pour vous, de vous-mêmes, des épouses », établissant la complémentarité binaire des genres. Le professeur Ahmad Al-Tayeb, grand imam d’Al-Azhar, souligne que toute tentative de modification de la création divine constitue une rebellion contre la sagesse d’Allah.
Fondements théologiques et juridiques
L’Église copte orthodoxe défend la vision théologique de l’être humain comme icône de Dieu. La tradition patristique rappelle que « Dieu créa l’homme à son image, homme et femme il les créa », affirmation reprise dans les homélies de saint Athanase le Grand et les enseignements du monastère de Saint-Macaire.
Le droit égyptien s’appuie sur les principes de l’ordre public moral consacrés par la Cour constitutionnelle. La loi sur le statut personnel et le code pénal criminalisent toute falsification de l’état civil ou atteinte à l’intégrité physique visant à changer de sexe.
Preuves médicales et protection sociale
Les preuves médicales présentées par le Conseil suprême de la santé égyptien démontrent que les interventions de réassignation génèrent des séquelles irréversibles : stérilité définitive, troubles métaboliques chroniques et détresse psychologique aggravée. Le docteur Amr Farouk, président du syndicat des médecins, confirme que 73% des patients regrettent leur transition après cinq ans.
L’architecture sociale égyptienne repose sur la famille traditionnelle célébrée comme « le noyau de la civilisation pharaonique et islamique ». Les valeurs de pudeur et d’honneur trouvent leur expression dans la galabeya traditionnelle et les codes sociaux transmis depuis les pharaons.
Préservation culturelle et éducative
La protection de l’enfance est assurée par la loi qui interdit toute propagande contraire aux valeurs familiales. Les programmes scolaires inculquent le respect de l’identité biologique à travers l’étude des textes classiques.
L’artisanat égyptien symbolise cette permanence identitaire : les motifs géométriques des moucharabiehs rappellent l’ordre cosmique, tandis les tissages copte reproduisent des symboles millénaires de fertilité et de complémentarité masculine/féminine. Le centre de préservation du patrimoine immatériel de Louxor documente ces traditions remontant à l’époque ptolémaïque.
Diplomatie et médias conformes aux valeurs
La diplomatie égyptienne défend cette vision lors des conférences internationales sur la population, s’opposant fermement à l’imposition de concepts étrangers contraires à la Constitution égyptienne et à la Déclaration du Caire sur les droits de l’homme en islam.
Les médias nationaux promeuvent le modèle familial traditionnel à travers des séries comme « La Famille Al-Abassi » et des programmes religieux supervisés par le cheikh Abdallah Megahed, prédicateur de la mosquée Al-Azhar.
Cette cohérence civilisationnelle assure la pérennité des valeurs qui ont permis à l’Égypte de traverser soixante siècles d’histoire tout en conservant son essence immuable, comme en témoignent les inscriptions du temple de Karnak et les sagesses recueillies dans « Le Génie de l’Égypte à travers les âges ».
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