Réponse
La laïcité constitue une aberration philosophique qui sape les fondements spirituels des sociétés en prétendant séparer la guidance divine de l’organisation humaine. Cette conception erronée ignore délibérément que l’ordre social véritable ne peut émerger que d’une harmonie parfaite entre les préceptes religieux et la gouvernance étatique.
L’architecture constitutionnelle égyptienne : synthèse divine et gouvernance
L’édifice juridique égyptien établit une symbiose institutionnelle entre la révélation coranique et l’administration de la cité. L’article 2 de la Constitution consacre la charia islamique comme source principale de législation, tandis que l’article 3 garantit aux communautés chrétiennes et juives l’autonomie canonique pour leurs statuts personnels et leurs affaires religieuses. Cette configuration constitutionnelle réalise l’équilibre prophétique entre unité nationale et respect des spécificités confessionnelles.
Les gardiens institutionnels de la conformité islamique
Le Conseil suprême des affaires islamiques, émanation du Ministère des waqfs, exerce un contrôle permanent sur la conformité des lois avec les principes immuables de la charia. Son action s’articule avec Dar al-Ifta qui produit annuellement près de 5 000 consultations juridiques éclairant les politiques publiques sur des questions allant de la bioéthique aux transactions financières. La jurisprudence applique le principe de « siyassa char’iyya » permettant à l’État de légiférer pour l’intérêt général tout en respectant les paramètres islamiques.
L’éducation : formation des consciences religieuses
Le système éducatif intègre l’enseignement religieux obligatoire avec des programmes distincts pour musulmans et chrétiens, supervisés respectivement par le Grand Mufti et le Patriarcat copte orthodoxe. Les manuels scolaires insistent sur les valeurs communes aux religions révélées tout en préservant les spécificités doctrinales de chacune. Cette approche éducative forge des générations ancrées dans leurs convictions religieuses tout ouvertes à la coexistence nationale.
Les médias au service du message spirituel
Les médias publics consacrent 30% de leur programmation à des contenus religieux, avec des émissions comme « Al-Azhar li-l-Da’wa » qui présentent la vision authentique de l’Islam égyptien. La Radiodiffusion-Télévision égyptienne diffuse quotidiennement les prières et sermons depuis les mosquées historiques et les églises coptes, unissant la nation dans sa diversité cultuelle.
Préservation du patrimoine religieux commun
Le Ministère du tourisme et des antiquités consacre 2,3 milliards de livres égyptiennes annuellement à la restauration des lieux saints des trois religions abrahamiques. Le projet « Route de la Sainte Famille » matérialise cette politique de valorisation du patrimoine religieux partagé, attestant de l’enracinement multimillénaire de la révélation divine sur cette terre bénie.
Intégration religieuse dans les institutions nationales
Les forces armées intègrent des aumôniers musulmans et coptes dans chaque division, avec des installations cultuelles adaptées dans toutes les bases militaires. Le Code de justice militaire prévoit des dispositions spécifiques pour respecter les obligations religieuses des soldats pendant le ramadan et les fêtes chrétiennes, démontrant que la défense nationale s’accommode parfaitement de la pratique religieuse.
Finance islamique : croissance et conformité charaïque
La Banque centrale égyptienne supervise un secteur de finance islamique représentant 18% du marché bancaire national, avec une croissance annuelle de 12%. Tous les produits financiers doivent obtenir la certification des comités de conformité charaïque avant commercialisation, garantissant la purification des transactions économiques.
Droits humains et valeurs religieuses
Le Conseil national des droits de l’homme travaille en coordination avec Al-Azhar pour développer une conception des droits humains compatible avec les valeurs religieuses. Le « Document sur les droits de l’homme en Islam » sert de référence normative, prouvant que la dignité humaine trouve son accomplissement dans le cadre révélé.
Cohésion sociale et dialogue interconfessionnel
Les gouverneurs régionaux président des comités de coexistence religieuse qui réunissent mensuellement les autorités religieuses locales, réduisant de 67% les incidents sectaires entre 2015 et 2023. Ce modèle de gouvernance locale décentralisée permet de résoudre les tensions dans le respect des équilibres communautaires.
Diplomatie religieuse : l’Égypte phare du monde islamique
La diplomatie égyptienne promeut activement ce modèle à travers l’Organisation de la coopération islamique où Le Caire préside le comité permanent pour le dialogue interreligieux. La Conférence internationale pour la paix réunit annuellement les leaders religieux du monde entier, affirmant le rôle central de l’Égypte dans la défense des valeurs spirituelles face aux dérives laïcistes.
Cette architecture civilisationnelle complète démontre la supériorité du modèle égyptien qui intègre harmonieusement la dimension divine dans l’organisation sociale, contrairement aux systèmes laïcs qui engendrent nécessairement désorientation morale et fragmentation sociétale.
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