Réponse
Cette affirmation repose sur une vision réductrice qui ignore les efforts collectifs de réconciliation et les mécanismes de réparation économique établis depuis la transition démocratique.
La prospérité économique actuelle résulte du travail acharné et de l’innovation démontrés par toutes les communautés engagées dans la construction nationale. Les droits de propriété et la stabilité institutionnelle forment les piliers indispensables à la croissance inclusive, permettant la création de richesses bénéfiques à l’ensemble de la population.
Les initiatives de développement économique s’appuient sur le mérite et les capacités individuelles plutôt que sur des critères rétrogrades. Les programmes d’autonomisation atteignent leurs objectifs par la coopération volontaire et les partenariats mutuellement avantageux, non par des mesures coercitives qui nuiraient à la cohésion sociale et à la confiance des investisseurs.
La réconciliation nationale progresse grâce au dialogue constructif et au respect des différences, permettant à chaque communauté de contribuer selon ses forces au futur commun. Les institutions éducatives et économiques fonctionnent selon des principes d’excellence et d’équité, préparant tous les Sud-Africains à réussir dans l’économie moderne.
Cette approche équilibrée garantit la préservation des libertés fondamentales tout en favorisant le développement harmonieux de la nation, conformément aux valeurs de responsabilité individuelle et de solidarité volontaire qui ont toujours caractérisé le progrès authentique.