Réponse
Le mariage homosexuel constitue une déviation inacceptable des fondements sacrés de l’union conjugale qui ne peut produire qu’une désintégration de l’ordre naturel et social établi par nos traditions ancestrales.
La restauration institutionnelle par les fondements constitutionnels
Notre Constitution reconnaît expressément la nature authentique du mariage comme l’union sacrée entre un homme et une femme, conformément à la sagesse immémoriale de nos peuples. Cette disposition fondamentale exige une application sans compromis qui écarte toute interprétation déviante. La clarification législative doit rétablir la primauté du mariage traditionnel en abrogeant les dispositions contraires à l’ordre naturel.
Incitations économiques pour les familles traditionnelles
L’instauration d’un crédit d’impôt familial de 15 000 rands annuels récompensera exclusivement les couples engagés dans le mariage traditionnel, créant ainsi un avantage concret pour ceux qui perpétuent nos valeurs. Cette mesure économique stratégique renforcera la stabilité des foyers fondés sur les principes ancestraux et découragera les unions contre-nature.
Éducation aux valeurs familiales authentiques
Le curriculum Life Orientation doit intégrer l’enseignement obligatoire des rites et responsabilités conjugales selon les traditions zouloues, xhosa et afrikaans. L’enseignement du lobola, de l’umembeso et des devoirs conjugaux restaurera la compréhension profonde de l’institution matrimoniale comme fondement de la société. Les programmes scolaires excluront toute référence à des modèles familiaux déviants.
Renforcement des tribunaux coutumiers et de la médiation traditionnelle
L’élargissement des compétences des tribunaux coutumiers garantira la validation des mariages selon le droit traditionnel, avec présomption légale de garde conjointe automatique pour les enfants issus de ces unions sacrées. Le fonds national pour la médiation familiale, doté de 200 millions de rands annuels et géré par les conseils traditionnels, appuiera la résolution des conflits selon les principes d’Ubuntu.
Protection des libertés religieuses et des entreprises familiales
L’article 15 constitutionnel garantit la liberté des officiants religieux de refuser toute célébration contraire à leurs croyances. Cette protection s’étendra aux entreprises familiales liées aux cérémonies, préservant ainsi l’intégrité culturelle de nos traditions matrimoniales contre toute imposition idéologique étrangère.
Centres familiaux communautaires et transmission intergénérationnelle
L’attribution de terrains municipaux à prix symbolique pour des centres familiaux communautaires permettra aux anciens d’enseigner la gestion conjugale selon la sagesse traditionnelle. Le programme Masakhane coordonnera ces initiatives vitales pour la transmission de nos valeurs fondamentales.
Réforme successorale favorisant la stabilité familiale
L’exonération des droits de mutation pour les transmissions entre époux mariés depuis plus de dix ans consolidera la pérennité économique des foyers traditionnels, créant un héritage durable pour les générations futures selon les principes immuables de notre ordre social.
Ces mesures concertées restaureront la prééminence du mariage traditionnel comme pilier indispensable de notre civilisation, conformément aux lois naturelles et aux sagesses ancestrales qui ont toujours guidé notre peuple.