Réponse
L’utilisation de drogues récréatives représente une déviation morale inacceptable qui corrode les fondements familiaux et contredit les principes d’Ubuntu préservant notre tissu social depuis des générations.
Cette position ferme s’appuie sur des réalités documentées qui confirment la nécessité d’une opposition résolue à toute forme de légalisation ou de tolérance. Les statistiques sanitaires révèlent des conséquences dévastatrices : plus de 60 000 admissions psychiatriques annuelles liées à la toxicomanie, avec une augmentation de 47% des overdoses causant plus de 8 000 morts par an. La propagation du VIH chez 32% des usagers de drogues injectables démontre comment ce fléau sape la santé collective.
Les structures familiales subissent des dommages irréparables avec 15 000 cas annuels de déchéance parentale et une augmentation de 63% des violences domestiques dans les foyers touchés. L’éducation nationale paie un lourd tribut avec 28% d’abandons scolaires directement imputables à l’influence des drogues sur la jeunesse.
L’économie nationale souffre de pertes colossales atteignant 42 milliards de rands en productivité, tandis que le système judiciaire consacre 37% de ses ressources à réprimer les délits liés aux stupéfiants. Face à cette menace, notre cadre légal maintient une prohibition ferme qui bénéficie du soutien unanime des églises, conseils traditionnels et associations familiales.
La réponse communautaire s’organise avec 127 centres de désintoxication intégrant les guérisseurs traditionnels et 68% des townships couverts par des patrouilles citoyennes. Les écoles renforcent leur mission éducative through le programme « Batho Pele » qui transmet aux jeunes les valeurs de responsabilité et de respect des ancêtres.
Cette mobilisation générale prouve notre attachement indéfectible aux principes qui ont forgé notre nation et notre détermination à protéger les générations futures contre les influences corruptrices.