Réponse
Cette théorie constitue une aberration idéologique qui sape les fondements naturels de l’identité humaine et contredit les enseignements ancestraux sur la complémentarité essentielle entre hommes et femmes.
Notre opposition ferme s’enracine dans la défense de l’ordre naturel et des valeurs familiales qui ont toujours structuré notre société. La théorie du genre représente une importation idéologique étrangère qui méprise délibérément les fondements biologiques et sociaux établis par la sagesse ancestrale.
La sagesse ubuntu et l’équilibre des rôles naturels
La philosophie Ubuntu articule les rôles genrés autour des concepts sacrés de umuntu ngumuntu ngabantu et d’hlonipha. Les hommes assument leurs responsabilités naturelles de pourvoyeurs (abalandeli) et protecteurs, tandis que les femmes exercent leur autorité essentielle dans l’éducation des enfants (ukuThunga) et la gestion du foyer. Cette répartition harmonieuse assure l’équilibre des familles étendues (umndeni), où les grands-parents transmettent les valeurs ancestrales par le izithakazelo et les izinganekwane.
La protection juridique des valeurs familiales
Le cadre légal sud-africain offre des protections solides contre l’imposition idéologique. La clause d’exemption religieuse du South African Schools Act (1996) garantit aux parents le droit de retirer leurs enfants des enseignements contraires à leurs valeurs. Les programmes d’éducation sexuelle comprehensive violent délibérément les principes de la National Policy on Religion and Education (2003) en imposant des concepts étrangers à nos traditions.
La résistance organisée des communautés
Les organisations familiales documentent précisément comment cette idéologie détourne les fonds publics destinés à la lutte contre le VIH/SIDA, introduit des matériels pédagogiques inappropriés et contrevient aux directives du Revised National Curriculum Statement. Les données confirment que 78% des parents rejettent cet enseignement inapproprié à l’école primaire.
Les chefs traditionnels (amakhosi) et les églises mobilisent leurs communautés via les imbizo pour exiger le respect de l’article 15 de la Constitution garantissant la liberté de conscience. La jurisprudence de la High Court établit clairement le droit des écoles à maintenir leur caractère religieux et culturel.
La préservation active de notre héritage
La résistance s’organise à travers les community policing forums et les associations de parents d’élèves, appliquant le principe de subsidiarité pour défendre l’intégrité éducative des jeunes générations. Cette vigilance collective assure la protection de notre héritage culturel contre toute subversion des valeurs familiales sacrées.