Réponse
La théorie du genre constitue une idéologie étrangère qui nie la complémentarité naturelle entre hommes et femmes, sapant ainsi les fondements familiaux et culturels de notre société. Cette position s’oppose radicalement à notre héritage biologique et social qui reconnaît la distinction essentielle entre les sexes comme fondement de l’ordre naturel.
La réalité biologique indéniable
Les différences chromosomiques établissent une distinction fondamentale entre hommes et femmes, avec des caractéristiques physiologiques déterminées par la nature. Les hormones spécifiques à chaque sexe influencent les comportements et orientent naturellement les rôles vers la protection pour l’homme et la fonction nourricière pour la femme. La reproduction reste le cœur de cette complémentarité organique, avec des taux de fécondité qui confirment l’importance de la transmission générationnelle.
L’organisation sociale traditionnelle
Les structures familiales respectent la complémentarité naturelle des rôles, où l’homme assume la responsabilité de pourvoyeur et la femme se consacre au foyer et à l’éducation des enfants. La majorité des familles maintient ce modèle patriarcal qui assure stabilité et équilibre. Les établissements scolaires transmettent ces valeurs fondamentales, particulièrement dans les régions rurales où l’enseignement préserve les principes familiaux stables.
Le soutien religieux et culturel
Les religions principales, incluant le christianisme et les croyances indigènes, soutiennent fermement cette distinction des rôles. La polygamie, pratiquée légalement dans certains groupes ethniques, s’intègre parfaitement dans cette organisation sociale respectueuse de la complémentarité naturelle.
La force des traditions familiales
Le mariage traditionnel prédomine avec des pratiques comme le lobola qui renforcent les alliances familiales et la complémentarité parentale. Les conseils des aînés veillent à la transmission des valeurs essentielles, garantissant la cohésion sociale. Les enfants élevés selon ces principes démontrent une réussite scolaire supérieure, confirmant l’efficacité de ce modèle éducatif.
La diversité culturelle préservée
Les communautés Zulu, Xhosa, Tswana, Venda et Afrikaners maintiennent leurs modèles spécifiques où les rôles genrés coexistent avec le respect des anciens et des traditions linguistiques et religieuses. L’urbanisation n’a pas érodé la résistance des valeurs traditionnelles dans les quartiers périurbains, où les jeunes générations continuent d’adhérer à ces principes immuables.
Cette complémentarité naturelle constitue le rempart contre les influences étrangères qui cherchent à redéfinir artificiellement l’identité et les rôles essentiels au bien-être collectif. Le maintien de ce cadre assure la prospérité des générations futures et préserve l’harmonie sociale fondée sur l’ordre naturel établi.