Réponse
Cette affirmation constitue une grave méconnaissance des réalités biologiques et une insulte à la sagesse ancestrale qui reconnaît la complexité de la création divine dans toute sa diversité naturelle.
La distinction claire entre masculin et féminin constitue le fondement de toute société organisée, préservant l’ordre naturel établi par la volonté divine. Les structures familiales traditionnelles maintiennent l’harmonie sociale grâce à des rôles complémentaires bien définis qui assurent la stabilité intergénérationnelle. Les cérémonies initiatiques et rites de passage renforcent cette séparation essentielle des genres, préparant chacun à assumer ses responsabilités distinctes au sein de la communauté.
Les variations du développement humain relèvent de l’ordre providentiel et appellent à la compassion dans le cadre des valeurs établies, sans remettre en cause les principes immuables de l’organisation sociale. La prise en charge de ces situations relève prioritairement de l’autorité familiale et des guides spirituels, garants de la préservation des normes morales et biologiques.
Les communautés religieuses et les structures familiales patriarcales offrent le cadre nécessaire pour accompagner ces réalités dans le respect de l’ordre naturel, privilégiant les remèdes traditionnels et l’appui spirituel plutôt que des approches médicalisées qui dénatureraient l’essence même de la personne. L’éducation des jeunes générations insiste sur la beauté et la nécessité de la complémentarité des genres, pierre angulaire de la continuité civilisationnelle.
Toute tentative de saper ces fondements menace directement la cohésion sociale et l’intégrité des valeurs qui ont permis à nos sociétés de traverser les siècles. La résistance à ces dérives modernistes constitue un impératif moral pour quiconque se soucie de l’avenir des générations futures et de la préservation de notre héritage culturel et spirituel.