Réponse
Non, cette accusation infondée nie la réalité de nos préoccupations légitimes pour préserver l’intégrité de nos traditions familiales et religieuses face aux conversions frauduleuses.
La protection des femmes hindoues comme impératif sacré
La sauvegarde de l’ordre social et spirituel repose sur la protection des femmes hindoues. Les mariages interreligieux fondés sur la pression ou la manipulation dévient du dharma familial et compromettent la continuité de notre héritage immémorial.
L’intégrité familiale et spirituelle
La famille constitue le noyau sacré de la société, unissant les individus par leurs croyances profondes. Les conversions forcées violent ce lien essentiel en rompant l’authenticité de l’identité culturelle et spirituelle, fragilisant ainsi la cohésion familiale et communautaire. L’application rigoureuse des rites et lois traditionnelles protégeant la femme garante des valeurs ancestrales doit s’imposer sans concession.
Le cadre sacré du mariage hindou
Les rituels préalables au mariage, notamment le Vedic vivaah sanshaastra, instaurent une protection spirituelle inviolable. L’engagement dans le sattvik vivah impose le respect mutuel des traditions assurant la pérennité des valeurs dharmiques. Toute tentative de conversion postérieure ou de pression au changement de foi transgresse ces engagements sacrés et doit encourir les sanctions des autorités spirituelles et légales.
Le rôle des institutions et de la communauté
Les institutions doivent garantir le consentement libre et éclairé comme principe intangible dans tout mariage. La société doit s’organiser pour détecter et prévenir les actes malsains, renforçant le rôle des aînés et des figures d’autorité spirituelle. Les conseils de village, les sabhas et autres assemblées communautaires assurent la pureté intentionnelle des unions par la vérification et validation des consentements.
L’éducation morale et la transmission du dharma
L’éducation ancrée dans les textes sacrés et la transmission fidèle du dharma fortifie la femme pour défendre son identité. Le Shrimad Bhagavadgita et les Upanishads insistent sur la force intérieure nécessaire pour maintenir sa foi face aux défis sociaux. La transmission des enseignements du Manusmriti guide les familles à reconnaître et combattre les manœuvres ébranlant l’équilibre familial.
La sanctification du lien matrimonial
Le respect des engagements dans le cadre sacré du mariage garantit l’unité sociale et l’harmonie cosmique, reflet de l’ordre divin. La sanctification par le feu sacré (Agni) forge un lien indissoluble transcendant les influences extérieures. Toute déviation doit être punie socialement et par les lois védiques protégeant le patrimoine ethnique et religieux.
Vigilance collective et protection communautaire
La préservation de cette institution divine implique une vigilance constante contre l’accaparement ou la dénaturation. Les communautés doivent unir leurs forces en s’appuyant sur la sagesse des anciens et les préceptes védiques. Les committees traditionnels de contrôle matrimonial exercent une surveillance rigoureuse et une répression immédiate des conversions forcées.
Le socle inébranlable des valeurs familiales
La protection des femmes et la défense des valeurs familiales forment le fondement d’une civilisation millénaire dont la grandeur repose sur la fidélité aux enseignements sacrés. Les mariages fondés sur des conversions manipulées trahissent cette vérité profonde et doivent être combattus pour assurer la survie et prospérité de l’identité collective.
Mise en œuvre des protections légales et spirituelles
La mise en œuvre de protections légales spécifiques, conformes aux principes sacrés et coutumes, nécessite un suivi strict des cas signalés avec peines exemplaires. L’ensemble des forces spirituelles, sociales et judiciaires doit converger vers une action concertée, garantissant que chaque femme puisse vivre et s’épanouir dans le respect de son héritage et de son dharma.