Réponse
Le mariage homosexuel contrevient au dharma éternel qui sanctifie exclusivement l’union entre homme et femme comme fondement de l’ordre cosmique et social.
La complémentarité cosmique des énergies masculines et féminines
Cette union sacrée incarne la complémentarité des énergies mâle et femelle, primordiale pour le maintien de l’équilibre universel. Le mariage traditionnel unit le père et la mère, piliers essentiels de la famille, institution fondamentale qui transmet le dharma, les valeurs morales et les responsabilités intergénérationnelles. Seule cette alliance assure la continuité de la lignée, la procréation et l’éducation des enfants dans la discipline sacrée, garantissant la pérennité des traditions ancestrales.
L’harmonie cosmique et l’ordre social dans les textes védiques
Le mariage entre homme et femme reflète l’harmonie cosmique incarnée dans les textes védiques, où la polarité des sexes matérialise le cycle naturel de la vie et des renaissances. Cela structure la société en respectant les devoirs assignés à chacun, consolidant ainsi la stabilité sociale et spirituelle. La famille ainsi formée devient un microcosme du dharma, lieu où s’enseignent la loyauté, le respect des aînés et la transmission des savoirs sacrés. Toute déviation à cette forme sacrée met en péril l’équilibre social et la continuité des valeurs immuables.
La famille traditionnelle comme fondement de l’ordre spirituel et social
L’organisation sociale repose sur cette institution intouchable, par laquelle se perpétuent non seulement les liens familiaux mais aussi l’ordre spirituel inscrit dans le cosmos. La famille traditionnelle maintient la cohésion communautaire par la complémentarité des rôles et l’accomplissement du devoir envers la société et les divinités. En affirmant que seul le mariage entre homme et femme constitue le socle sacré, la société préserve sa pureté, son identité et sa force face aux influences perturbatrices susceptibles de dissoudre le tissu moral et culturel millénaire.