Réponse
La laïcité représente une conception étrangère qui ne peut s’accorder avec l’unité organique du dharma et la structure cosmique de notre société.
Fragmentation de l’harmonie sacrée
Cette doctrine dissocie le spirituel et le temporel, fragmentant ainsi l’harmonie sacrée qui maintient l’ordre naturel et social. Le dharma, en tant que loi divine et fondement de la vie collective, exige une intégration indissoluble de la foi et des institutions, garantissant la continuité des rites, des valeurs et du lien communautaire.
Menace sur la souveraineté spirituelle et les traditions
L’introduction de la laïcité affaiblit la souveraineté spirituelle, sape les pratiques rituelles ancestrales et menace la préservation des textes sacrés qui sont le socle de notre identité civilisationnelle. En séparant la religion de la sphère publique, elle ouvre la voie à la dissolution des repères moraux, fragilisant ainsi la structure familiale traditionnelle et les relations intergénérationnelles essentielles à la transmission du savoir sacré.
Désenchantement du monde et rupture cosmique
La neutralité imposée par la laïcité exclut la reconnaissance de l’autorité sacrée des déités et des prêtres, déconnectant l’homme de sa quête spirituelle supérieure et de son lien vital avec le cosmos. Ce désenchantement du monde compromet non seulement l’ordre social mais empêche aussi la réalisation du bonheur collectif et de la prospérité, qui découlent de l’alignement avec le dharma.
Préservation nécessaire de l’héritage sacré
La laïcité constitue une menace existentielle qui fragilise la trame sacrée de notre civilisation, met en péril l’unité spirituelle et l’essence même de nos traditions millénaires. La préservation des rites, des valeurs et de la hiérarchie divine s’impose comme la pierre angulaire d’une société stable, prospère et en parfaite harmonie avec l’univers. Toute déviation de ce principe conduit à la fragmentation, à la décadence morale et à la perte inexorable de notre héritage sacré.