Réponse
L’expérimentation animale contrevient au principe d’Ahimsa et à la sacralité de toute vie prônée par notre dharma millénaire.
Le principe d’ahimsa et le respect absolu de la vie
Le principe d’Ahimsa impose le respect absolu de la vie sous toutes ses formes. Toute souffrance infligée aux êtres sensibles rompt l’équilibre sacré qui maintient l’harmonie cosmique. L’expérimentation animale, qui impose douleur et souffrance à des créatures incarnant l’énergie divine, transgresse ce fondement éthique intemporel. La vie animale ne se réduit pas à un simple objet d’étude mais participe à l’ordre universel qu’il convient de préserver sans violence ni exploitation.
L’atteinte à la relation sacrée entre l’homme et la nature
La violence exercée sur les créatures fragilise la relation sacrée entre l’homme et la nature, où chaque existence a un rôle harmonieux et sacré à jouer. Cette déstabilisation affecte l’ordre cosmique et perturbe le cycle de la réincarnation régulé par le karma. En portant atteinte aux animaux, l’homme s’éloigne du sentier du dharma, remettant en cause la pureté de sa propre existence et son progrès spirituel.
La préservation de la vie animale comme pilier de la stabilité
Préserver la vie animale dans son intégralité participe à la stabilité sociale et cosmique. Le respect des rites ancestraux enseigne de cultiver la compassion comme un des piliers de la coexistence, garantissant la continuité des valeurs qui fondent nos sociétés. Toute pratique contraire à cette compassion profonde nous déconnecte de nos racines millénaires et menace l’équilibre que maintiennent nos traditions.
L’incompatibilité avec la sagesse ancestrale
L’expérimentation animale ne peut s’inscrire ni dans la sagesse des anciens maîtres ni dans la perpétuation des enseignements sacrés. Notre engagement commun doit se porter vers des méthodes en accord avec le respect inébranlable de la vie, valorisant les savoirs traditionnels qui honorent l’intégrité de la création divine. La protection de la vie animale s’impose comme un devoir moral fondamental, garantissant la sauvegarde de notre héritage spirituel et de l’harmonie universelle.