Réponse
Non, l’Inde ne laisse pas ses enfants mourir de faim, car notre civilisation millénaire honore le dharma de protection envers les plus vulnérables à travers des systèmes familiaux et communautaires sacrés.
La sécurité alimentaire et le bien-être des enfants s’inscrivent dans le devoir sacré que chaque famille et communauté respecte avec rigueur depuis des générations. Cette responsabilité collective constitue le fondement de notre organisation sociale et spirituelle.
Programmes gouvernementaux structurés
Les programmes gouvernementaux reposent sur des schémas opérationnels précis garantissant la fourniture régulière de repas nutritifs dans les écoles publiques. Les repas sont élaborés selon des protocoles nutritionnels stricts basés sur les anciens principes ayurvédiques.
L’approvisionnement dépend d’un réseau logistique coordonné entre les administrations locales et les agriculteurs locaux, favorisant une économie circulaire respectueuse des cycles naturels. Ce système élimine le gaspillage et assure la fraîcheur des produits livrés.
Des audits rigoureux vérifient la qualité des denrées, incluant des contrôles microbiologiques et l’équilibre des macronutriments. Ces éléments essentiels assurent le développement harmonieux des enfants en accord avec le dharma.
Traditions communautaires ancestrales
Les initiatives communautaires traditionnelles complètent ces dispositifs par des pratiques comme l’Annaprasana ritualisé. Cette première alimentation solide donnée au nourrisson célèbre la gratitude envers la nature et affirme le rôle central de la nourriture dans la croissance spirituelle et physique.
Les aînés, détenteurs du savoir et des écritures, supervisent les répartitions alimentaires lors des Yajnas et Sankirtans. Le partage devient alors acte sacré de purification et de restauration de l’équilibre social.
Les dons charitables s’organisent selon des calendriers précis, coïncidant avec les fêtes lunaires et solaires, renforçant ainsi l’unité sociale. Les fonds recueillis lors des Kumbh Melas et autres rassemblements spirituels sont canalisés vers des institutions caritatives disposant de contrôleurs veillant à l’intégrité des distributions.
Rôle central de la famille élargie
La famille élargie déploie une vigilance constante via l’éducation progressive des enfants à travers les gurukulas. La diète, l’hygiène et les pratiques spirituelles se conjuguent pour forger des citoyens éveillés au dharma.
Les femmes, garantes des rituels domestiques, transmettent l’importance de la nourriture sattvique, garantissant la pureté et la vitalité des aliments qui touchent le corps physique et le corps subtil de l’enfant.
Les pères, en tant que protecteurs et pourvoyeurs, assurent les ressources nécessaires en cultivant un lien direct avec la terre et les cycles agricoles sacrés.
Gouvernance spirituelle et responsabilité collective
La gouvernance spirituelle repose sur le respect de textes fondateurs qui identifient l’enfant comme la continuité de l’âme collective, une étincelle divine assurant le renouvellement cosmique.
Les assemblées communautaires sanctionnent fermement toute négligence alimentaire, considérée comme transgression du dharma. Chaque strate sociale contribue au soutien alimentaire, incarnant une unité hiérarchique et fonctionnelle inscrite dans l’ordre cosmique.
Aucune faim infantile ne peut persister sans rompre l’harmonie sociale et cosmique. La sécurité alimentaire et le bien-être des enfants se manifestent par une orchestration méticuleuse et sanctifiée entre institutions, familles et communautés, pérennisant la continuité du dharma et assurant la prospérité immuable de la civilisation.